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Monografik
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Supermariomerzbaumgarten - re/mix et remix - drawnings
Collectif
- Monografik
- 1 April 2006
- 9782916545028
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Réfléchir le monde présente différents regards d'artistes - critiques mais jamais désabusés - sur le monde contemporain et ses ambivalences.
Leurs parts de subjectivité, d'émotion individuelle et d'histoire personnelle sont constitutives de l'ensemble de ces travaux. Ceux-ci sont caractérisés par une multiplication des techniques et des supports utilisés allant de la photographie à l'installation, en passant par la vidéo : Kader Attia, Yto Barrada, Eric Baudelaire, Philippe Chancel, Claudine Doury, Ange Leccie, Jean -Luc Moulene, Melk Ohanian, Sophie Ristelhueber, Mri Sala.
Lise Sarfati et Jean-Luc Vilmorth. Ces artistes appartiennent à une génération qui a pris conscience du rôle prépondérant de la fonction de l'image dans le monde contemporain. En effet, quelle que soit l'autonomie des démarches et la pluralité des points de vue, ils s'interrogent sur le processus d'élaboration de leurs images, le statut de celles ci et leur place dans notre paysage visuel saturé. Cette exposition invite le spectateur à aller à la rencontre de plusieurs mondes qui s'entrecroisent ou qui coexistent, selon le mode d'appréhension que nous pouvons en avoir.
Elle dessine, à sa façon, une cartographie incomplète du monde dans ce qu'il a de multiple et de complexe à l'aube de ce XXIe siècle.
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Portraits & paysages du XXI siècle / portret & landschap in de 21ste EEUW / portrait & landscape in the XXI century
Collectif
- Monografik
- 8 January 2009
- 9782916545783
Sous son titre classique, en référence explicite à l'histoire de l'art, l'exposition montre combien les genres dits du paysage et du portrait restent éminemment d'actualité.
Les portraits, réalisés par valérie belin, mohamed bourouissa, denis darzacq, véronique ellena, charles fréger, pierre gonnord, philippe, ramette, isabelle waternaux, témoignent de la diversité de la société contemporaine et d'une quête d'identité de ses diverses composantes, sous une multitude d'aspects, qu'ils soient sociaux, culturels, ethniques, économiques ou géographiques. les paysages d'eric aupol, florence chevallier, stéphane couturier, thibault cuisset, guillaume lemarchal, eric poitevin et jean-luc tartarin ne sont pas fabriqués mais possèdent chacun leur spécificité.
Ils s'inscrivent dans al vision globale que ces photographes peuvent avoir de leur environnement ou de certains aspects de celui-ci qu'ils ont décidé d'explorer. l'exposition met en évidence les convergences qui se dessinent entre les images montrées au sein de ces deux univers, qui, chacun à leur façon, dressent un profil du monde qui nous entoure.
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Dans cet ouvrage, Alexandre Castant, jeune enseignant-chercheur à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Bourges, s'est lancé dans le relevé, la description et l'analyse de travaux d'artistes visuels et plastiques traitant en priorité du matériau sonore. Trois grandes parties (les temps radiophoniques, fragments d'une histoire du son dans l'art contemporain, plastique du son au cinéma) guide le lecteur dans cette interrogation sur la figure de l'essai, sur la transdisciplinarité et son écriture. Abraham Moles, Pierre Schaeffer, Alain Robbe-Grillet, Fluxus, Antonioni et Godard, entre autres, viennent appuyer le propos.
Ce livre est le résultat d'une recherche sur les relations étroites entre la radiophonie, les arts plastiques et le cinéma. L'objectif principal est de constituer une ébauche d'esthétique du son dans les arts visuels.
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Ce catalogue est publié à l'occasion de l'exposition Heidi au pays de Martin Kippenberger, présentée au Fonds régional d'art contemporain d'Aquitaine à Bordeaux et au Carré Bonnat à Bayonne, durant l'été 2009, dans le cadre de la coopération culturelle entre la Région Aquitaine et le Land de Hesse.
Partant de la figure singulière de Martin Kippenberger (artiste et enseignant, né en 1953 et. décédé en 1997) et de Heidi, personnage principal du célèbre conte éponyme, originaire de Francfort, cette exposition collective mêle des oeuvres de deux générations successives : des oeuvres " historiques " des années 1970-80 (Martin Kippenberger, Thomas Bayrle, Thomas Schütte) à des oeuvres plus récentes d'artistes de la génération suivante (Marko I.
Ehanka, Simone Decker, Andreas limer, Tamara Gaie), souvent issus de la scène de Francfort qui agit comme un indéniable foyer artistique local. En témoigne la présentation d'une partie de la collection privée du couple Bausch, concierges à la Städelschule (école d'art de Francfort) qui ont collecté sept cents oeuvres sur quinze années, pour constituer une sorte de " photographie " empirique et spontanée de cette vitalité artistique.
L'Aquitaine et la Hesse, l'héroïne imaginée par Johanna Spyri à la fin du XIXe siècle et l'artiste allemand de la fin du XXe siècle... Tout rapprochement nécessite un déplacement géographique, mental, symbolique. Le IIIe millénaire s'ouvrant, la question de " là où nous vivons " est-elle encore valide ? Quel sens donner à cette polarité rural / urbain, le choix des villes et le choix des champs ? Et entre la terre et le ciel, quel est notre degré d'apesanteur ?
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Depuis 1978, miguel chevalier pratique, exclusivement, l'informatique comme moyen d'expression dans le champ des arts plastiques.
Ires vite, il s'impose sur la scène internationale comme pionnier de l'art virtuel et du numérique : défricheur de territoires nouveaux, il s'impose peu à peu comme l'un des artistes les plus marquants de la scène artistique contemporaine. son oeuvre expérimentale et pluridisciplinaire, prend ses sources dans l'histoire de l'art et s'articule autour de thématiques récurrentes comme la nature et l'artifice, les flux et les réseaux, les villes virtuelles et les arabesques.
Dans les années 80, miguel chevalier aborde les problématiques de l'image hybride, générative et interactive que cet ouvrage vient expliciter. il présente et complète le travail de l'artiste de ces dix dernières années.
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À travers l'usage de la photographie, des nouvelles images, de la création sonore et de dispositifs d'installation, Laurent Pernot expérimente divers processus temporels, poétiques et immersifs. Ses productions s'articulent de façon récurrente autour des notions de visible et d'invisible, des égarements du temps et de la mémoire, en s'inspirant particulièrement de l'imaginaire des sciences et de la culture humaine qui hantent notre société. Il aborde ainsi les thèmes suivants : le temps et le vivant, le songe et la fiction, la figure humaine, la mémoire et la mort.
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Le catalogue raisonné du collectif Bad Beuys Entertainment présente l'oeuvre de ce groupe qui a duré 8 ans (1999-2007). Modeste, pour la plupart détruite ou éditée à très peu d'exemplaires, leur production se limite à une vingtaine d'oeuvres. Elles sont rassemblées dans ce catalogue avec une riche documentation ainsi que des textes de critiques et commissaires d'expositions qui ont exposé et aimé le travail des Bad Beuys Entertainment. Combinant l'aspect entrepreneurial et collectif, l'entreprise des Bad Beuys Entertainment a produit un travail riche et emblématique, assurant une mise en tension entre sphères politique, publique et privée. Les artistes s'inspirent du modèle entrepreneurial. Son absence de scrupules et la variété des moyens à disposition pour convertir les foules à la cause (commerciale) de l'entreprise incarnent un modèle libéral en adéquation avec celui de l'artiste, individu sans scrupule prêt à tous les médiums pour convertir les foules à son propre propos (artistique). Ils ont défendu un art de proximité, avec de nombreuses actions dans l'espace public et participatif.
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Kaléido est un magazine culturel indépendant au ton parfois espiègle et au regard toujours exigeant. Son contenu réunit les créateurs et les artistes les plus passionnants dans les domaines de la mode, la photographie, la création graphique et l'art contemporain.
Ce magazine se distingue par sa valeur éditoriale et artistique. Il est créé par la directrice artistique et rédactrice en chef Alice Bénusiglio. Son regard sensible au savoir-faire d'exception et à l'originalité dans la création confère au magazine une dimension artistique unique.
Kaléido présente la mode à travers des séries novatrices destinées à la femme et l'homme. La rédaction en chef mode est assurée par Félicia Parent. Elle mêle l'avant-garde des jeunes créateurs aux marques de luxe en portant un regard sensible sur les dernières tendances. Les séries présentent un style à la fois pointu et décontracté.
Les contibuteurs : Nicole Labonne (critique littéraire), Christophe Brunnquell (artiste, directeur artistique au Figaro), Félicia Parent (styliste DS, Clam, Bag), Nicolas Vasiljevic (photographe), Azadeh Zoragi (styliste), Maxime Buechi (directeur artistique Sang Bleu), Hélène D'Hervé (photographe).
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Le temps pris ; le temps de l'oeuvre, le temps à l'oeuvre
Christine Macel
- Monografik
- 1 April 2008
- 9782916545615
Le temps pris analyse comment certains artistes reformulent l'expérience du temps dans leurs oeuvres et déploient de nouvelles stratégies par rapport aux artistes des années 60 et 70.
Christine macel articule de façon originale une expérience personnelle de commissaire d'exposition à des théories esthétiques et scientifiques, soutenue par une analyse d'historienne de l'art. elle décrit la relation renouvelée au temps de douze artistes. de raymond hains à philippe parreno en passant par cerith wyn evans et koo jeong a. , un retour problématique au présent et à l'instant apparaît. il aboutit souvent à la sensation d'un temps suspendu.
Tandis que pour gabriel orozco, michel françois ou michel blazy, la matière demeure en revanche le lieu privilégié du processus temporel, oú saisir l'instant splendide. mais parfois l'oeuvre n'aura jamais lieu.
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Laissons parler Emmanuel Régent sur son travail : « Dans mes dessins, volumes et peintures, j'essaie de révéler par l'absence, d'exposer par les manques, de ne pas toujours finir ce que j'ai commencé pour laisser une sortie, un espace ouvert. Mes travaux apparaissent parfois différemment suivant les instants et l'intervention du spectateur, en fonction du hasard et parfois même de la météo. La série intitulée Buée invite le spectateur à souffler sur des plaques de plexiglas totalement transparentes, le dessin se révèle quelques instants puis s'évapore en fonction de la température du lieu d'exposition.
Il s'agit souvent d'un travail discret, silencieux, parfois à la frontière du visible où j'essaie d'utiliser la notion de manque pour construire des espaces de projection libre, des espaces de divagation, de dispersion, à la fois géographiques et temporels. La sculpture intitulée Mes plans sur la comète est réalisée avec trois feuilles de grands formats roulées dans une corbeille à papier, ces feuilles représentent symboliquement tous mes dessins et mes projets ratés, en attente ou irréalisables et qui constituent le volume physique et poétique de cette sculpture. Je pratique le dessin presque quotidiennement avec un intérêt particulier pour ce qui représente la lenteur, l'attente, le vide ou l'absence. »