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Price
Jean Clair
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Henri Cartier-Bresson : Photo Poche n°2
Henri Cartier-Bresson
- Actes Sud
- Photo Poche
- 12 March 2025
- 9782330203320
"Un génie", "le plus grand photographe de tous les temps", "l'oeil du siècle"... tous les superlatifs ont été employés pour qualifier Henri Cartier-Bresson (1908-2004). Alliant qualité documentaire et regard poétique, il a en effet créé l'une des oeuvres photographiques les plus fascinantes du XXe siècle. Après avoir étudié la peinture, fréquenté les surréalistes, il a fondé l'agence Magnum Photos. Du Mexique à l'Inde de Gandhi, de l'Amérique à la Chine, en passant par la Russie, il a parcouru le monde, son Leica rivé à l'oeil.
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Considérations sur l'état des beaux-arts ; critique de la modernité
Jean Clair
- Folio
- Folio Essais
- 5 June 2015
- 9782070464913
Cet ouvrage, paru en 1983, est très vite devenu un classique contemporain, tant après lui nombre se sont engagés dans la brèche de cette première vraie critique de la modernité artistique.
Le constat demeure aujourd'hui encore lucide : depuis les années 1950 se sont multipliés aussi bien les musées d'art moderne que les écrits qui lui sont consacrés. Mais jamais on a aussi peu peint, jamais on a aussi mal peint. La pullulation d'objets hétéroclites qui ne ressortissent à l''art' que par l'artifice du lieu qui les expose et du verbe qui les commente amène à poser la question : vivons-nous le temps d'un moderne tardif, au sens où l'on parle d'un gothique tardif ?
Quelles sont les causes de ce déclin? En transposant dans le domaine des formes le propos millénariste des Révolutions, la théorie de l'avant-garde a peu à peu fait entrer la création dans la terreur de l'Histoire. De ce point de vue, le primat de l'abstraction imposé après 1945 aux pays occidentaux n'est que la figure inverse de l'art d'État que le réalisme socialiste a imposé aux pays soviétiques. Elle a entraîné une crise des modèles : inverse de celle du néo-classicisme qui rejetait la perfection de l'art dans le passé, elle a projeté dans le futur une perfection désormais inaccessible dans le temps. Elle a aussi entraîné une perte du métier : le n'importe-quoi, le presque-rien, l'informe et le monstrueux comme variétés de l'hybris moderne redonnent à la querelle de l'art comme savoir-faire ou comme vouloir-faire une singulière actualité.
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Un livre de raison, tenu sur quatre saisons, comme il y a quatre humeurs et quatre âges. Choses vues, notations, réflexions et aphorismes : l'humeur noire domine, portée parfois à la fureur devant la dévastation d'une culture, la ruine de la langue, la vulgarité arrogante des médias, les signes irréfutables, glanés au jour le jour, d'un effondrement sournois du monde et de la venue d'un nouveau temps des barbares. Mais l'étonnement, l'émerveillement, la tendresse, l'enchantement percent plus d'une fois dans ce petit livre de pensées, quand il s'ouvre à l'intime et au chant. " Justification, peut-être, de ce journal, cette réflexion de Julien Green : "Le secret, c'est d'écrire n'importe quoi, parce que lorsqu'on écrit n'importe quoi, on commence à dire les choses les plus importantes." "
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À travers une iconographie exceptionnelle étayée par des essais d'historiens des sciences, de l'art et des religions, cet ouvrage propose un regard renouvelé sur le cheminement scientifique et intellectuel de Sigmund Freud. Mettant en lumière l'importance de ses recherches dans le domaine de la neurologie, Freud, du regard à l'écoute s'attache à faire redécouvrir l'invention de la psychanalyse et son développement au-delà du cercle viennois, puis son impact sur le surréalisme alors même qu'elle se construit dans le refus de l'image, s'épanouissant dans les associations de mots et l'écoute en l'absence de toute représentation visuelle : le lisible contre le visible, le mot contre l'image. Au fil de la carrière du médecin viennois, l'ouvrage met aussi en évidence sa dette à l'égard du judaïsme, car si Freud lui-même se définit comme un «juif tout à fait sans Dieu» et souhaite défendre le caractère universel de la psychanalyse, sa pensée demeure profondément redevable à la tradition interprétative propre au judaïsme.
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«Au fond, on ne peut rien dire de la sensation, sinon qu'elle nous comble. Mais quel vide en nous remplit-elle ? Que peut-on dire du parfum d'une fleur, sinon qu'il nous enchante ? Il n'a pas été créé pour nous et nous en prenons pourtant notre part, d'autant plus fortement peut-être que, contrairement à l'insecte, nous trouvons en lui un univers libéré de la nécessité. De quelle harmonie le corps est-il le temple qui, si nous étions un peu plus sûrs de nous et plus attentifs aux sensations qui nous traversent, pourrait nous faire pressentir la nature de ce que sont les dieux ?» Ce livre, écrit dans la tradition de l'érudition libertine, recherche les traces d'un certain savoir fondé sur les sens. En une suite de digressions apparemment capricieuses, créant tout un réseau d'échos entre chaque thème, il chemine, de la statue de marbre de Condillac aux cires de la Specola de Florence, du clavecin de Diderot à un sex-shop de la rue Saint-Denis, d'une gravure de Rembrandt à une peinture de Vermeer. C'est bien de rencontres qu'il s'agit, dessinées comme «en passant» d'un trait lumineux. C'est aussi un roman d'apprentissage, où l'auteur retrouve une identité et un nom.
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Le nez de Giacometti ; faces de carême, figures de carnaval
Jean Clair
- Gallimard
- Art Et Artistes
- 9 October 1992
- 9782070727926
À partir d'une sculpture d'Alberto Giacometti, Le Nez, de 1947, dont il existe, outre la fonte en bronze, deux plâtres peints, Jean Clair a écrit un texte court et fascinant qui jette une lumière inattendue sur l'oeuvre entier.
En dehors de l'historiographie traditionnelle - avec toutefois des éléments biographiques jusqu'ici négligés -, l'anthropologie, le folklore, la psychanalyse, la biologie sont convoqués pour enrichir l'approche de l'historien d'art. Des livres pour enfants - les Contes de Perrault, le Pinocchio - à la tradition érotique où le nez s'exhibe et se cache à la fois - de Gogol à Stanley Kubrick -, des rituels carnavalesques de l'Italie du Nord au mythe de la Chasse sauvage, des mutilations sacrificielles à la chirurgie esthétique, une lecture brève, mais foisonnante, illumine l'oeuvre de Giacometti. Tout opposé aux approches canoniques qui ont fait de lui une figure désincarnée, angélisée ou sanctifiée, cet essai donne l'image d'un homme pétri de quotidien, obsédé par le sexe et la mort, et plus proche de Bataille et de Picasso qu'il ne l'était de Breton et des surréalistes.
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éloge du visible ; fondements imaginaires de la science
Jean Clair
- Gallimard
- Connaissance De L'inconscient
- 24 October 1996
- 9782070746750
Intelligere et eligere sont proches dans la langue. Choix dans le fouillis du visible, la distinction est compréhension et beauté. Intelligence et élégance ont partie liée. Voir, comprendre, distinguer sont une même chose. Le vieux mot français de mire, pour dire le médecin, atteste encore l'affinité entre l'art de l'artiste, qui produit des choses «admirables», et le savoir du savant, qui regarde et qui garde. La science et l'art prennent soin du monde.Dans ce dialogue entre l'art et la science, la psychanalyse, prise entre le verbe et l'image, joue un rôle majeur. Elle n'est pas seulement contemporaine de Bocklin et de Klinger. Questionnant un corpus iconographique particulier pour valider sa démarche, de Moïse à Léonard de Vinci, se voulant à l'occasion, dans la Traumdeutung, une «science» de l'image, elle est aussi l'héritière du Symbolisme, et peut-être sa prisonnière.Rappelant les privilèges de ce que Goethe appelait Die Welt des Auges, cette suite d'essais se développe comme un plaidoyer pour une science romantique.
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Ancien directeur du Musée Picasso de Paris, commissaire d'expositions, l'auteur s'insurge contre la faiblesse des politiques culturelles françaises et une certaine dérive muséologique avec le monnayage des collections nationales. A titre d'exemple, il cite la politique du Louvre à Abu Dhabi.
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« J'ai longtemps préféré le pays maternel, son aspect closier, ses fées, ses garous et ses sorts, et surtout ces écrans des haies, comme des coulisses de théâtre ouvrant sur des mystères, ou dessinant capricieusement, selon les saisons, les limites et les lieux, et que l'humidité enveloppait d'un voile.
Plus tard, c'est le pays paternel que j'ai aimé, parce qu'à l'inverse, il dépliait l'horizon, l'étirait et le haussait jusqu'aux monts du Morvan, sur les flancs desquels ne poussaient guère que des chênes - et des digitales pourprées.
J'ai dû composer avec ces deux origines, sans trop trahir l'une ou l'autre, et sans rien mépriser d'aucune. »
J. C.
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Méduse ; contribution à une anthropologie des arts du visuel
Jean Clair
- Gallimard
- Connaissance De L'inconscient
- 21 April 1989
- 9782070716050
Méduse mêle en ses traits l'humain et le bestial. Elle habite l'extrême Occident, aux confins de l'Hadès. Elle a le pouvoir d'arracher l'homme à la vie organisée pour le replonger dans l'horreur du chaos. Elle pétrifie qui la regarde. Mais une autre tradition la présente comme une jeune fille douce et séduisante qui, courtisée par Poséidon, s'unira à lui dans un temple consacré à Athéna. C'est pour la punir que la déesse aurait changé sa chevelure en serpents.Cette ambiguïté de Méduse, puissance de nuit et de mort, mais aussi de fascination et de grâce, se retrouve au cours des siècles dans les innombrables représentations que les artistes ont tracées d'elle.Car Méduse, figure du sexe et de la mort, est aussi le paradigme de la vision de l'artiste. Pour défier l'invisible, celui-ci doit multiplier les divers artifices qui le protègent de son pouvoir mortifère.L'approche iconologique d'un des motifs les plus inquiétants que l'art occidental ait créés débouche ainsi sur une interrogation anthropologique qui enveloppe le sens de la création, de la beauté et du désir et qui renouvelle la querelle de la double origine à laquelle puise notre culture.
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Sur Marcel Duchamp et la fin de l'art
Jean Clair
- Gallimard
- Art Et Artistes
- 26 April 2000
- 9782070758036
Au tournant du nouveau siècle, Jean Clair a décidé de revenir sur le cas de Duchamp comme figure exemplaire de la modernité. Reprenant les essais de 1977, il les fait précéder d'une longue étude qui jette sur le père des pseudo ready-made, le rêveur inlassable de La Mariée, et le bâtisseur de ce «Château de la pureté» dont parlait son ami Octavio Paz, une lueur extrêmement dérangeante. En le situant dans une postérité qui est celle de des Esseintes et de Monsieur Teste, comme elle est celle de Max Stirner et de Rudolf Steiner, il lui confère un sens qui, par ricochet, tend à bouleverser l'image que l'on s'est construite de l'histoire de l'art moderne.
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Autoportrait au visage absent : Écrits sur l'art (1981-2007)
Jean Clair
- Gallimard
- Blanche
- 20 March 2008
- 9782070786268
«Des écrits sur l'art : le vertige de l'éphémère opposé au vertige de la pérennité (supposée) de l'art. En fait, la permanence dans la durée de la passion des tableaux - et des sculptures -, quand elle éclate devant une oeuvre, et dont il faut tenter, en vain parfois, d'expliquer la raison. L'espoir que des réflexions dispersées dans le temps - et dans les catalogues et dans les revues - en un quart de siècle, entre 1981 et aujourd'hui, valaient de n'être pas tout à fait oubliées. L'éventail couvre un peu plus de quatre générations, de la fin du XIX? au début du XXI? siècle, de Klimt à Kiefer, dans un registre large d'écriture, qui va de la simple note de voyage, fixant des moments, des souvenirs ou des propos qui, avec le temps, sont devenus précieux, sur Ensor, Balthus ou Louise Bourgeois par exemple, à l'essai plus ambitieux, sur Bonnard ou sur Giacometti. Un territoire particulier, une continuité spirituelle de l'Europe, faite d'attirances, de magnétismes, d'échanges. La Flandre d'abord, avec Ensor et Spilliaert, puis l'Italie avec Morandi, Martini et Music, l'Angleterre avec Bacon, Freud, Hockney, Mason, la France bien sûr, avec Alechinsky, Szafran... Des oeuvres déjà historiques, du Symbolisme aux années 1960. Mais aussi des oeuvres contemporaines, ne serait-ce que pour faire mentir la légende d'une critique passéiste : le dernier texte est consacré à un Italien d'aujoud'hui, Claudio Parmiggiani. La plupart de ces textes sont de circonstance : nés d'un coup de coeur, d'emballements, de découvertes jubilantes, remontant parfois à plus de vingt ans, quand on ne parlait guère encore de Spilliaert, de Freud ou de Gaston Lachaise. Il s'agissait de confirmer ici ces passions en republiant leur histoire et en marquant leur cohérence. Un territoire sentimental finalement, une certaine fidélité de l'oeil dans la multiplication des rencontres.» Jean Clair.
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Promenade d'un amateur solitaire à travers l'art d'aujourd'hui, ses manifestations, ses expressions. Constat d'un paysage saccagé, festif et funèbre, vénal et mortifiant.
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Du surréalisme considéré dans ses rapports au totalitarisme et aux tables tournantes : Contribution à une histoire de l'insensé
Jean Clair
- Mille et Une Nuits
- 7 May 2003
- 9782842057329
Les expositions récentes, et les polémiques suscitées par la vente Breton, montrent que le surréalisme est le seul des mouvements d'avant-garde à avoir acquis un succès populaire et durable. En effet, il n'est pas un programme littéraire et artistique au sens classique du terme, désormais inscrit au cursus des collèges et lycées. À travers sa volonté de « transformer le monde » (Marx) et de « changer la vie » (Rimbaud), il intègre une dimension politique qui ne prétendait pas moins que de faire naître un homme nouveau. Cette théorie politique du surréalisme dont on parle peu, quelle fut-elle ?
Mouvement anarchiste et libertaire, dont les situationnistes dans les années cinquante puis les acteurs de Mai 68 prétendront être les héritiers, le surréalisme ne cesse cependant de frôler les idéologies totalitaires de l'époque. Les dix ans de rapports conflictuels avec le communisme, de 1925 à 1935, l'épisode inquiétant de Contre-Attaque, le « surfascisme » de Bataille, le théâtre d'Artaud, si proche du théâtre totalitaire des dictatures et son antisémitisme, tout cela fait plus que jeter une ombre sur l'activité d'une société secrète qui reprenait l'attirail d'une idéologie officielle, d'un parti unique, d'un chef charismatique, des purges et des procès, d'un système de propagande...
De la société secrète, le groupe partageait aussi le goût pour l'occultisme : tables tournantes, sommeils artificiels, médiums, logorrhées et graphorrhées. Comment le surréalisme pouvait-il concilier son espoir d'une révolution qui établirait sur Terre le règne de la Raison, avec son attrait pour le spiritisme ? Comment pouvait-il se réclamer de Trotski le jour, et de Blavatski la nuit ? En fait, Freud et Marcel Mauss, fondateurs de la psychanalyse et de l'ethnologie - les deux grandes anthropologies sur lesquelles le surréalisme prétendait s'appuyer -, rejetèrent brutalement les offres de service d'une idéologie dont ils avaient clairement distingué les périls.
« Ce n'est pas au surréalisme comme esthétique (...) que l'on s'attachera ici, mais au surréalisme comme symptôme. C'est une généalogie de la violence au siècle dernier qu'à travers lui on tentera de retracer. »
Jean Clair est conservateur général du Patrimoine et directeur du musée Picasso à Paris. Il est notamment l'auteur de La Responsabilité de l'artiste (1997), Sur Marcel Duchamp et la fin de l'art (2000), et Court Traité des sensations (2002), essais publiés aux éditions Gallimard. -
Mrs Dalloway
Virginia Woolf, Marie-Claire Pasquier, Bernard Brugière
- Folio
- Folio Classique
- 27 February 2020
- 9782072884818
Une journée dans la vie d'une femme. Vivant dans la haute société anglaise, au lendemain de la Première Guerre mondiale, l'héroïne s'interroge sur ses choix - pourquoi n'a-t-elle pas épousé l'homme qu'elle aimait vraiment, qui lui rend visite ce jour-là ? -, ses souvenirs, ses angoisses - pourquoi est-elle si frappée par la mort d'un ancien militaire qui ne s'est pas remis de la guerre, pourtant un parfait inconnu pour elle ? Crise existentielle qui mène à un dédoublement de personnalité, aux portes de la folie. Ce grand monologue intérieur exprime la difficulté de relier soi et les autres, le présent et le passé, le langage et le silence, mais aussi de se reconnaître soi-même. Comment s'émanciper du carcan social, comment assumer son identité ?
Publié en 1925, Mrs Dalloway est le chef-d'oeuvre de Woolf et l'un des piliers de la littérature du XXe siècle. Dans ce roman poétique, porté par la musique d'une phrase chantante et d'une narration incisive, les impressions deviennent des aventures.