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Price
FRANK
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FRANK STELLA A RETROSPECTIVE EXPO WHITNEY MUSEUM 2015-2016
STELLA, FRANK
- YALE UNIVERSITY PRES
- 7 July 2018
- 9780300215441
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Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu'en 1942, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, les Frank s'installent clandestinement dans «l'Annexe» de l'immeuble du 263, Prinsengracht. Le 4 août 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, Anne meurt du typhus en février ou mars 1945, peu après sa soeur Margot. La jeune fille a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944, et son témoignage, connu dans le monde entier, reste l'un des plus émouvants sur la vie quotidienne d'une famille juive sous le joug nazi. Cette édition comporte des pages inédites.
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Inclassable, Frank Horvat est passé du reportage à l'image composée, du paysage à la mode, du nu au portrait. Cette nouvelle édition revisite son oeuvre éclectique à travers une sélection entièrement revue.
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Léonard de Vinci
Louis Frank, Vincent Delieuvin
- Éditions Hazan
- Catalogue D'Exposition
- 23 October 2019
- 9782754111232
Catalogue officiel de l'exposition Léonard de Vinci au musée du Louvre du 24 octobre 2019 au 24 février 2020.
L'année 2019, cinquième centenaire de la mort de Léonard de Vinci en France, revêt une signification particulière pour le Louvre qui possède la plus importante collection au monde de peintures de Léonard ainsi que 22 dessins.Le musée trouve en cette année de commémoration l'occasion de rassembler autour des cinq tableaux essentiels qu'il conserve, à savoir la Vierge aux rochers, la Belle Ferronnière, la Joconde - qui reste dans la salle où elle est habituellement exposée -, le Saint Jean Baptiste et la Sainte Anne, la plus grande part possible des peintures de l'artiste, afin de les confronter à un large choix de dessins ainsi qu'à un ensemble, restreint mais significatif, de tableaux et de sculptures de l'environnement du maître.Cette rétrospective inédite de la carrière de peintre de Léonard permet de montrer combien il a mis la peinture au-dessus de tout et comment son enquête sur le monde, qu'il appelait « la science de la peinture », fut l'instrument de son art, dont l'ambition n'était rien moins que d'apporter la vie à ses tableaux.Aboutissement de plus de dix années de travail, qui ont vu notamment l'examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d'entre eux, permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l'exposition clarifie également la biographie de Léonard en reprenant tous les documents d'archives. Elle dresse le portrait d'un homme et d'un artiste d'une extraordinaire liberté
Coédition Hazan/Editions du musée du Louvre.
Prix Catalpa 2019 Pour les catalogues d'expositions de Paris -
En 1955, Robert Frank traverse les États-Unis. Un cow-boy, un homme tatoué faisant sa sieste sur l'herbe d'un parc, la souffrance d'une femme qui vient d'enterrer un proche, un cireur de chaussures, une route, des femmes qui trinquent ; seules quatre-vingt-quatre de ses images furent publiées, en 1958, dans l'indifférence.
Ce livre est depuis devenu un classique de la photographie. Jugé triste, pervers, voire subversif par la presse américaine d'alors, son importance n'a pourtant cessé de croître au fil des années. Les photographes, les critiques et le grand public ont salué en Robert Frank un véritable novateur.
Ce livre n'a rien d'un reportage. Il ne raconte pas le périple d'un homme à travers les États-Unis mais rassemble une suite de notes prises sur le vif, par un écorché vif.
Réédition - avec le texte de Jack Kerouac publié dans la première version américaine du livre. -
Un jour, un ours se tenait à la lisière d'une grande forêt. Des oies sauvages volaient vers le sud, les feuilles des arbres commençaient à tomber : l'hiver approchait. L'ours trouva une caverne et s'y endormit. Mais des hommes construisirent une énorme usine juste au-dessus de sa caverne. Quand il se réveilla au printemps, l'ours ne reconnut rien. Plus de forêt, plus d'herbe ni de fleurs ! Dans une usine, il n'y a que des gens qui travaillent. Il a beau protester, personne n'accepte de croire que c'est bien un ours...
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Intelligence artificielle
Loup Cellard, Francesca Musiani, Dominique Boullier, Jean-pierre Dupuy, Antonio Somaini, Katharine Throssell, Philippe Huneman, Pierre-Yves Modicom, Alexandre Gefen
- Aoc
- 4 April 2025
- 9782492542213
Sept ans après son lancement, le quotidien d'idées en ligne AOC s'appuie sur ses articles de référence sur tous les types de sujets d'actualité pour proposer chaque trimestre, autour d'un thème, un numéro des Saisons d'AOC.
Publié le premier jour du printemps, le 21 mars prochain, ce premier numéro proposera un ensemble d'une vingtaine de textes longs autour des questions que pose l'Intelligence artificielle : de l'histoire de cette technologie à ses implications futures, en passant par les aspects éthiques ou de connaissance, ses effets culturels comme juridiques, les meilleurs spécialistes du domaine (mathématiciens, philosophes, grammairiens ou sociologues...) partagent des réflexions qui prennent du recul sur l'actualité immédiate.
L'iconographie, confiée à la curation du Palais de Tokyo, proposera une sélection d'oeuvres du grand artiste Thomas Hirschhorn, qui travaille ces derniers temps les questions du numérique et de l'IA, de sorte que le magazine propose une véritable exposition au long de ses pages (et commentée sous la forme d'un entretien) - une première dans l'histoire de la presse. -
Consacré à la guerre en Irak, Irak 24 heures se concentre sur la journée du mardi 17 octobre 2006, dont Frank Smith fournit le décryptage poético-documentaire des événements survenus minute après minute, heure par heure, entre 0 h 00 et minuit.
Consacré à la guerre en Irak, Irak 24 heures se concentre sur la journée du mardi 17 octobre 2006, dont Frank Smith fournit le décryptage poético-documentaire des événements survenus minute après minute, heure par heure, entre 0 h 00 et minuit.
Ce livre à entrées multiples est tout d'abord composé d'une série de 70 sections pointant chacune un incident particulier de type " SIGACTS " ou " actions significatives " survenu à un instant précis ce jour-là et relevé par l'armée américaine. Ces documents déclassifiés rendus publics par la plateforme Wikileaks en 2010 détaillent les éléments vus et entendus par les troupes militaires américaines sur le terrain, constituant ainsi le premier aperçu réel d'une histoire secrète du conflit. En regard de ces Irak War Logs, une image satellite est générée pour situer chaque incident à partir de ses composantes géographiques.
En écho, sont mis en relation des récits et des commentaires issus de blogs tenus par de jeunes Irakiens ; le flux continu et inéluctable des dépêches d'agences de presse parues tout au long de la journée ; ainsi que les fragments poétiques d'une réflexion sur la notion de " jour " et son passage dans le temps.
Un livre d'autant plus total que dispersé, non pas tant pour représenter une image du monde ce jour-là que pour tenter de rétablir des coordonnées dans la multiplicité chaotique d'un pays anéanti par la guerre. -
La société bourgeoise allemande fin de siècle, celui que Brecht appelle un « grand éducateur de la nouvelle Europe », Frank Wedekind, la connaît bien.
Il y a trempé dans toutes circonstances de sa vie. Rien d'étonnant à ce que son théâtre, ses poèmes, sa prose décrivent et dénoncent avec tant de rigueur les mensonges de son code moral, dont la première victime est la femme. (...) Dans ses nouvelles, Wedekind a pris majoritairement un biais exploratoire, celui de la femme, parce que socialement marginalisée, quelle que fût son appartenance sociale, comme en témoigne le choix présenté dans ce livre initialement paru chez Ludd en 1990. À contre-courant des idées reçues, Wedekind y peint des énergies féminines.
Le hasard des traductions fait que les textes ici rassemblés constituent des moments de la pensée de Wedekind, et traduisent par là même une dynamique de réflexion. Je m'ennuie est un extrait de son Journal rédigé au château de Lenzbourg (...). Le premier pas est également un extrait de son Journal : les lieux sont clairs, Wedekind séjourne à Paris du 1er mai 1892 au 23 janvier 1894. La Princesse Russalka, nouvelle, poème et pantomime, paraît pour la première fois en 1897 (à Paris ! Leipzig et Munich). Entre-temps, il a rédigé ses réflexions sur le monde du cirque et ses deux grandes nouvelles Un mauvais Démon et Marianne. Et ce notamment au contact de Karl Henckel, des frères Carl et Gerhart Hauptmann et de Peter Hille. Pour mieux se séparer des principes d'écritures réalistes ou socialistes des uns et des autres, et de devenir soi-même l'idéaliste, le danseur de corde, l'humoriste, le « Schnellmacher » - le peintre de l'instant -, précurseur de l'expressionnisme !
Contemplons dès lors ces quelques textes comme un état préparatoire à une oeuvre théâtrale géniale et comme le chemin frayé à des grands descripteurs allemands de la condition féminine. Frank Wedekind avait ouvert la voie à Lola, L'Ange bleu de Heinrich Mann, à Agathe Schweigert, à Susi, les fortes faibles femmes de La Force des faibles d'Anna Seghers, à la Mère Carrar et à Mère Courage de Brecht.
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America and other myths : Photographs by Robert Frank and Todd Webb, 1955
Lisa Volpe, Robert Frank, Todd Webb
- Yale Uk
- 26 October 2023
- 9780300270891
Robert Frank's and Todd Webb's parallel 1955 projects to photograph America are considered in the context of mid-twentieth-century American culture.
In 1955 two photographers were awarded grants from the John Simon Guggenheim Foundation to embark on trips across the United States. Robert Frank (1924-2019) drove coast to coast, photographing the highways, bars, and people that formed the basis for his widely admired publication The Americans (1958). Todd Webb (1905-2000) walked across the country, searching for «vanishing Americana and what is taking its place.» Unaware of each other's work, the photographers produced strikingly similar images of the highway, parades, and dim, smoky barrooms. Yet while Frank's grainy, off-kilter style revealed many inequities of American life, Webb's carefully composed images embraced clear detail and celebrated the individual oddities of Americans and their locales.
This revelatory book is the first to publish Webb's 1955 photographs and connects these parallel projects for the first time. More than one hundred images accompany text illuminating Frank's and Webb's different perspectives and approaches to similar subjects and places; the difference in reception of Frank's iconic work and Webb's relatively unknown series; and the place of the road trip in shaping American identity at midcentury.
Published in association with the Museum of Fine Arts, Houston.
Exhibition Schedule:
Museum of Fine Arts, Houston (October 8, 2023-January 7, 2024).
Addison Gallery of American Art, Phillips Academy, Andover, Massachusetts (February 10-July 30, 2024).
Brandywine Museum of Art, Chadds Ford, Pennsylvania (February 8-May 4, 2025) -
« Je ferme les paupières, je me bouche les oreilles, je pressurise mes tempes. Mais j'entends, je perçois encore, de plus en plus distinctement, le bruit des bottes qui reviennent. Serais-je donc le seul à l'entendre? ».
Ne croyez surtout pas que je hurle est un essai cinématographique de Frank Beauvais. Sur le mode du found footage, le cinéaste a réuni des plans issus de plus de 400 films sur lesquels il a monté en voix off, le récit autobiographique qui évoque les jours sombres qu'il a traversés en 2016. Il y exprime le désarroi dans lequel il était plongé, seul, isolé dans un village alsacien après une rupture amoureuse, terrifié par le climat sécuritaire qui régnait alors dans une France en état d'urgence. C'est ce cri de rage désespéré, ce bouleversant désir de retour à la vie d'un cinéphile reclus, qui est ici publié.
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My O'Hara : poèmes et proses de Frank O'Hara traduites par Mia Brion
Frank O'Hara, Cynthia Nelson
- Theatre Typographique
- 16 February 2023
- 9782909657646
Mais je ne veux pas créer une somme de prose à propos de quelque chose qui est déjà clair dans mes poèmes. Si l'on couvre quelqu'un de terre et que de l'herbe pousse, on ne sait plus de quoi iels avaient l'air.
...
Mia Brion a découvert The Collected Poems of Frank O'Hara au cours de ses études à l'Ecole des Beaux Arts de Paris. Elle en a aimé les poèmes, et beaucoup retenu les proses (ci-dessus un extrait de : Statement for the Paterson Society, 1961).
Auxquel.les elle joint un texte extrait de The New Fuck You (anthologie, 1995): Une chose à propos des poètes. -
Recueil de 131 photographies de Robert Frank réalisées dans les années 1950, dont 22 clichés originaux du reportage photo intitulé Américains, enrichis de 100 images inconnues. Né en Suisse, il émigre aux Etats-Unis en 1947 et commence sa carrière de photographe dans des magazines. Il obtient la bourse de la Guggenheim Fondation en 1955, et réalise de nombreux films.
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Pull my Daisy
Jack Kerouac, Alfred Leslie, Patrice Rollet, Robert Frank
- Macula
- Le Film
- 9 June 2016
- 9782865890897
Cet ouvrage paraît à l'occasion de l'exposition Beat Generation qui se tiendra au Centre Georges Pompidou du 22 juin au 3 octobre 2016, commissariat Philippe-Alain Michaud.
Comme L'Âge d'or en son temps pour le mouvement surréaliste, Pull My Daisy demeure [...] l'un des rares films à n'avoir pas galvaudé, formellement, l'esprit de liberté qui animait la Beat Generation, tout en en réunissant, avant qu'elle ne se disperse, la fine fleur littéraire, photographique, picturale et musicale poussant à la frontière de la culture américaine. Patrice Rollet Des poètes beat (Allen Ginsberg, Gregory Corso et Peter Orlovsky) ; des peintres (Alfred Leslie, Larry Rivers, Alice Neal) ; une comédienne française débutante qui se fait appeler Beltiane (Delphine Seyrig, un an avant L'Année dernière à Marienbad) ; un marchand d'art qui joue le rôle d'un évêque (Richard Bellamy) ; une danseuse (Sally Gross) ; un musicien (David Amram) et un photographe (Robert Frank, qui commençait à être connu pour ses images des Américains)... Puis l'immense Jack Kerouac, auteur d'une pièce dont le troisième acte donnera sa trame au film, qui improvisera un commentaire sur les images déjà tournées et montées. Mélange étrange. Voici Pull My Daisy, film-culte de la Beat Generation.
Depuis 1959, le film a une réputation à tenir : spontané, non planifié, non dirigé, improvisé, dont le couronnement est ce commentaire intense et poétique de Kerouac, scandé de sa voix si profonde et si mélodieuse (« Personne ne peut déclamer la langue comme les poètes peuvent le faire », dira de lui Alfred Leslie). Même si l'on sait que, d'une manière ou d'une autre, Pull My Daisy a été planifié et dirigé par ses deux réalisateurs, Alfred Leslie et Robert Frank, on se demande comment discipliner de tels acteurs... David Amram se souviendra que Robert Frank tentait de faire sérieusement son travail, mais tous essayaient de le faire rire, et aussi que les indications de jeu données par Alfred Leslie étaient couvertes par le vacarme de la bande... C'est peut-être là que se situe la « spontanéité » qui transparaît dans Pull My Daisy.
John Cohen, à qui Robert Frank avait demandé de prendre des photographies du tournage, a été le témoin de ces journées passées à « cueillir la pâquerette » et ses splendides images rayonnent d'une joie communicative.
Une introduction de Patrice Rollet et un texte de présentation de Pull My Daisy par Jack Sargeant, ainsi que deux entretiens qu'il a menés avec Alfred Leslie et Robert Frank complètent la première traduction française du génial commentaire improvisé par Kerouac.