Pour sa seconde mission, l'agent James Adams reçoit l'ordre de pénétrer au coeur du gang du plus puissant trafiquant de drogue du Royaume-Uni. Son objectif : réunir les preuves nécessaires pour envoyer ce dangereux criminel derrière les barreaux. Une opération à haut risque...
CHERUB est un département ultrasecret des services de renseignements britanniques composé d'agents âgés de 10 à 17 ans.
Julien Frison nous emporte dans l'univers palpitant de CHERUB, et met en voix le franc-parler et l'humour adolescent.
L'écoute en classe de ce CD est autorisée par l'éditeur.
Pour sa seconde mission, l'agent James Adams reçoit l'ordre de pénétrer au coeur du gang de plus puissant trafiquant de drogue du Royaume-Uni. Son objectif : réunir les preuves nécessaires pour envoyer ce dangereux criminel derrière les barreaux. Une opération à haut risque...
New York, 1917.
Grosse dispute entre chiens et chats.
Ed le loubard, le chien aux grandes oreilles, accuse le clan des Chappucini de vouloir empoisonner leurs croquettes.
Gang des chiens, contre gang des chats : voilà une nouvelle mission périlleuse pour Charlock qui doit vite rétablir la paix...
Par les moustaches de Charlock, encore une enquête à résoudre !
Pour sa seconde mission, l'agent James Adams reçoit l'ordre de pénétrer au coeur du gang de plus puissant trafiquant de drogue du Royaume-Uni. Son objectif : réunir les preuves nécessaires pour envoyer ce dangereux criminel derrière les barreaux. Une opération à haut risque...
CHERUB est un département ultra-secret des services de renseignement britanniques composé d'agents âgés de 10 à 17 ans.
POUR RAISON D'ÉTAT, CES AGENTS N'EXISTENT PAS.
« Le sport, c'est la santé ! » dit-on. Pourtant, pratiquer le sport à haut niveau, en professionnel comme en amateur, fait courir toutes sortes de danger : pour la santé, mais aussi parce que le dopage, les trafics, la violence... sont monnaie courante dans le milieu.Ancien pratiquant de bodybuilding et préparateur physique diplômé d'État, l'auteur explique qu'aucune discipline, pas même le tir sportif, n'est épargnée : tous les athlètes ont besoin de se doper pour maintenir un rythme contre-nature. Il montre également comment le sport détruit le corps - il en a personnellement fait l'expérience.Cyrille de Vergie retrace ici son parcours atypique, ses rencontres (parfois avec des célébrités) dans le microcosme sportif, évoquant de nombreuses anecdotes éloquentes. En parallèle de sa carrière officielle, il a lui-même préconisé des substances à des sportifs afin de les aider à booster leurs performances, jusqu'à devenir un personnage central de l'approvisionnement en produits dopants en France. Il détaille leur fonctionnement, leurs effets sur l'organisme, ainsi que les moyens utilisés pour contourner les contrôles. Après avoir tiré un trait sur ce passé, l'auteur souhaite mettre en garde les lecteurs : le dopage n'est pas sans conséquence sur la vie du sportif comme sur celle de son entourage. Blessures, troubles psychologiques, déformations physiques, agressions et même violences sexuelles, couvertes par des clubs et des fédérations gangrénés par les dérives du marché sportif... En proposant un discours à contre-courant, il révèle la sombre réalité du milieu du sport. Un témoignage sidérant. Ancien préparateur physique et biologique, Cyrille de Vergie est désormais musicien professionnel.
Fariña est à l'Espagne ce que Gomorra est à l'Italie !Fariña, " farine " en galicien, est un terme qui désigne la cocaïne. Durant les années 1980 et 1990, 80 % de cette drogue destinée à l'Europe transitait par les côtes de Galice, au nord-ouest de l'Espagne. Jamais cette région n'a commercialisé un produit avec autant de succès.
Nacho Carretero a mené une enquête exceptionnelle sur ce trafic hors du commun, s'attachant à décrire minutieusement les réseaux et les logiques mafieuses à l'oeuvre dans ce qui est devenu la porte d'entrée de la drogue en Europe. Au-delà du fabuleux exercice d'investigation,
Fariña nous offre un portrait sans équivalent de l'effondrement d'une société et de sa culture devant la mondialisation du trafic de drogue.
L'interdiction de publication (au moment de sa sortie, ce livre a été retiré des librairies espagnoles pendant plusieurs mois), ainsi que les nombreuses actions en justice intentées contre l'auteur et l'éditeur viennent confirmer la portée d'une publication qui fait déjà date. Une lecture passionnante et essentielle, qui se dévore comme un roman.
Ce soir-là à Morneville tout semble tranquille. Et pourtant...
Alors que Noa et son copain Louis gagnent un peu d'argent de poche en apportant des fleurs sur les tombes, un homme est agressé dans le cimetière. Par qui ? Pourquoi ? Bien décidés à le découvrir, ils surveillent de près les allées et venues. Mais à s'approcher trop près du coupable, nos deux héros prennent des risques...
Au sein du gouvernement britannique, seules deux personnes - le Premier ministre et le ministre des services secrets - connaissent l'existence de CHERUB. Cette agence de renseignement gouvernementale ultra-secrète a pour particularité de ne recruter et utiliser que de jeunes orphelins, de huit à dix-sept ans. C'est le cas de l'adolescent James Adams, un déshérité de la société britannique, que son intégration à CHERUB a probablement sauvé d'une dérive violente.
De sorcière qui s'ignore à sorcière stagiaire, il n'y avait qu'un pas et Esther Parmentier, 19 ans, l'a franchi grâce à la manière brillante dont elle a résolu une précédente enquête sous la direction de l'agent Loan, un vampire désagréable, mais néanmoins très séduisant. Elle est désormais à plein temps au sein de l'Agence qui contrôle les relations entre les humains et les créatures surnaturelles. Mais bientôt, un nouvel arrivant, un dénommé Wolfgang Strøm, loup-garou de son état, se présente pour, prétend-il, réaliser un audit de l'Agence. Et voici que simultanément l'agent Loan, qui avait mystérieusement disparu, fait son come-back : il enquête désormais sur un trafic de sang et exige la participation d'Esther. Quand à son tour Wolfgang s'immisce dans l'enquête, un trio est formé. Et qui dit trio dit complications...
À croire qu'il est plus important d'intercepter des « go fast » de cannabis que d'arrêter des tueurs...
Si la marchandise est perdue, rien ne vous protègera plus, même pas les barreaux d'une prison...
Une rumeur assassine s'en prend à l'innocence d'une famille.
La violence des trafics mobilise Stups et Crim' au-delà des frontières, dans le secret d'enquêtes mettant à l'honneur des tempéraments policiers percutants, parfois rebelles, toujours passionnés.
En France et à l'étranger, Pierre Pouchairet a vécu les procédures, les ambiances et les « milieux » qui inspirent ses romans. Dans ses livres éclate une vérité qui dépasse l'imagination, la vérité d'une vie engagée...
En janvier 1992, Brigitte Piquet-Pellorce accepte la proposition de la présidente de la SPA de rejoindre l'association et d'y créer une cellule anti-trafic afin de lutter, dans un premier temps, contre les vols de chats et de chiens pour les laboratoires, puis pour combattre le trafic des animaux de compagnie.
Pour avoir voulu soigner un rottweiler malade, Sergine Ollard, une vétérinaire des quartiers nords de Toulouse, va se trouver embarquée malgré elle dans un combat qui la dépasse.
Toulouse, quartiers nord, écrasés par la fournaise de l'été, les trafics, l'ennui, le désespoir. Sergine Hollard est de garde dans sa clinique vétérinaire quand la jeune Samia vient la chercher en pleine nuit. Il y a un chien dans une cave de la cité, il est malade, il va mourir. Sergine doit le sauver, Sergine ne doit rien dire. Et contre toutes les règles de prudence, parce que Samia la touche, la vétérinaire accepte. De soigner un chien rempli de drogue appartenant à un caïd du quartier de la ville où la criminalité est la plus élevée, un quartier pris en étau entre rêves d'argent facile et rêves de Djihad. Des rêves qui risquent de transformer la vie de Sergine en cauchemar...
" Intelligent, bien écrit, courageux. Une véritable réussite. "
Marc Fernandez, Metronews Cet ouvrage a obtenu le Prix de l'Embouchure 2016
Sylvie Pierre Ulmann, Les Coeurs du monde
Jean-Michel Frodon, Ce que tu aimes. Bien. Demeure. La lettre et le pied
Pierre Léon, Le dos majeur
Jean-Michel Alberola, M.A.G.I.E.
Hervé Gauville, Objectif danse
Luc Moullet, Petite topologie de ma cinéphilie
Pierre Gabaston, Oublieuse mémoire
Helmut Färber, Et pend, une voûte d'airain, le ciel au-dessus de nous
Philippe Grandrieux, Chant de forces
Érik Bullot, Sept notes sur la photogénie
Jean-Paul Fargier, Une chambre à soi
Fabrice Revault, Sal(l)e gosse
Nicole Brenez, Ce que tu aimes grandit (les figurants)
Jean-Marie Samocki, Devenir demeurer De Niro
Pierre Eugène, Un début dans la vie
Marie Anne Guerin, Police and thieves in the street !
Marcelline Delbecq, En suspens
Jacques Rancière, Les corps singuliers
Anne Bertrand, La Compagnie des Indes
François Bon, Tombeau pour Mark Baumer
Serge Daney, Le passeur
Charlotte Garson, Renoir, dégoût des couleurs ?
Raymond Bellour, Le Gai Savoir
Bernard Eisenschitz, Pablo Picasso vu par Peter Nestler
Frédéric Sabouraud, À deux mains
Jacques Aumont, La jambe légère et l'oeil polisson
Jean-Louis Comolli, L'envers du décor
Ysé Tran, Si c'est un rêve...
Jérôme Prieur, M. Klein et son double
Jean Louis Schefer, Benilde, La Marquise d'O ?
Christa Blümlinger, Márta Mészáros, le goût des instants équivalents
Marcos Uzal, Venise à Mort
Adrian Martin, Le Départ : lâché
Dork Zabunyan, De Muriel à Muriel
Mathieu Macheret, Les yeux dans le vide
Youssef Ishaghpour, Une femme est une femme : naissance du cinéma de Godard
Jean-Claude Biette, La Nuit du chasseur, de plus en plus jeune, de plus en plus grand
Leslie Kaplan, Moonfleet for ever
Mark Rappaport, La Comtesse aux pieds nus
Jean Narboni, Terre en trans
Jacques Bontemps, Flânerie élyséenne sur les traces de Jacques Becker
Jonathan Rosenbaum, Idées et réflexions après coup, passion et répression, liberté et prédestination
Patrice Rollet, Toutes voiles dehors
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
La guerre des gangs fait rage dans le sud. Jacques Gipar fonce à Marseille, il n'est pas question que le meilleur reporter de France Enquête ne soit pas au coeur de l'action. 1952. Un cargo faisant du cabotage en Méditerranée, quitte le port de Tanger avec une cargaison de cigarette. En pleine mer, il est abordé par des pirates et dérouté... 1954. Jacques Gipar et Petit Breton se rendent à Marseille pour enquêter sur les récents meurtres qui secouent le milieu local. En chemin, ce sont de drôles d'auto-stoppeurs qui vont s'inviter dans leur voiture et nos héros vont se retrouver en pleine guerre des blondes ! Sous le ciel de la Côte d'Azur, il n'y a pas que le soleil qui chauffe les esprits.
Collin et Rémi sont chargés d'enquêter sur un trafic clandestin d'animaux. Ils auront l'aide de Noé, revenu à la civilisation après un long voyage en Palombie.
Après L'Infiltré.
" Ces dernières années, on a vu de magnifiques photos, des saisies de drogue gigantesques. Les ministres successifs nous assuraient que de grands coups étaient portés aux trafics. Et on découvre aujourd'hui que l'Office des stups et son premier responsable sont allés chercher en Espagne le plus gros trafiquant français. Cet homme, on l'a enrichi. En utilisant ses réseaux, en protégeant ses livraisons, on lui a permis de transporter au moins vingt tonnes par mois. Ça signifie que, pendant des années, le premier importateur de drogue dans ce pays était l'État français. "Ce livre est le fruit de la rencontre du journaliste Emmanuel Fansten et d'Hubert Avoine, ancien informateur de l'Office des stups. Levant le voile sur les méthodes troubles de la lutte antidrogue, le témoignage de ce dernier a provoqué un séisme au sein de la police et entraîné l'ouverture d'une information judiciaire. Ces révélations ont aussi servi de point de départ à une enquête au long cours entre la France et l'Espagne, au fil de laquelle l'auteur a découvert des documents accablants et rencontré les témoins clés d'un système qui, au motif de lutter contre le trafic, a favorisé pendant des années l'importation massive de drogue. Un scandale policier d'une ampleurinédite, dont les ramifications remontent jusqu'au sommet de l'État.
Avec ce quatrième et dernier volume de La Maison cinéma et le monde s'achève la publication des écrits de Serge Daney jusqu'ici dispensés dans divers journaux ou revues, catalogues ou programmes souvent introuvables aujourd'hui. Après le temps des Cahiers et les années Libé, voici venu, trop bref mais si intense, le moment Trafi c, du nom de la revue qu'il fonde avec quelques amis (Raymond Belloun, Jean-Claude Biette, Sylvie Pierre et Patrice Rollet) en décembre 1991, alors qu'il se sait déjà condamné par la maladie (le sida). Il ne pourra en concevoir que les trois premiers numéros avant sa mort annoncée, le 12 juin 1992.
C'est le moment où, pressé par le compte à rebours de sa propre vie, Serge Daney porte à incandescence son rapport au cinéma et rédige certains de ses plus beaux textes, avec une ambition affi chée d'écrivain et dans le cadre d'une revue dont il a voulu le moindre détail, de l'absence revendiquée d'éditorial à la méfi ance envers les rubriques habituelles de la critique, en passant par le refus de l'illustration pour l'illustration. L'écriture seule a charge d'y décrire le mouvement des fi lms et de nous apprendre comment vivre avec les images.
Mais c'est aussi le moment ultime où, en toute conscience, Serge Daney fait le point sur son existence de ciné-fi ls et de passeur dans les entretiens approfondis qu'il accorde alors à Art Press, à Esprit, aux Inrockuptibles, au Monde ou à 24 images et qui constituent les compléments indispensables à ceux de Persévérance ou d'Itinéraire d'un ciné-fi ls.
Revue de cinéma fondée par Serge Daney.
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
Nul besoin aujourd'hui de jouer au Christ pour descendre aux limbes, il suffit d'aller au cinéma, de payer son obole à la caisse d'une salle obscure, d'emprunter l'escalier tortueux qui conduit au sous-sol et de franchir la porte coupe-feu qui débouche sur l'enfer, le purgatoire ou le paradis des images où s'accomplissent nos désirs inavouables.
L'inconscient visuel que la caméra révèle à Benjamin, le cinéma permanent où Breton se laisse détrousser comme dans un bois ou l'espace négatif que creuse souterrainement l'art termite cher à Farber ne sont que d'autres noms de ces limbes, dévoyés autant que sécularisés, de notre temps. Pour s'y rendre, il n'est point de meilleurs guides que les films eux-mêmes, qu'ils relèvent ici du registre de la prose comme plusieurs productions hollywoodiennes de Sjöström, de McCarey, de Tourneur et de Fuller, de celui de la poésie comme quelques oeuvres underground plus libres de Levitt, Loeb et Agee, de Brakhage, de Frank et Leslie, ou de celui, plus inclassable encore, de l'écriture de Biette ou de Straub et Huillet.
Ces Descentes aux limbes forment un diptyque avec Passages à vide dont elles constituent à la fois un prolongement et un cas limite. Là où ceux-ci s'efforçaient de décrire le vide central de l'essieu qui fait tourner la roue des films, celles-là tentent plutôt d'explorer son rayonnement vers la périphérie, aux confins du cinéma, aux abords de la peinture, de la littérature et de la photographie, tels qu'aperçus depuis cette autre rive.
Exergue
« Une cage grouillant de cobayes ». Le film fondateur de la démocratie postmoderne par J. Hoberman
Funk superficiel - sur Manny Farber par Kelly Reichardt
La première vache du nouveau monde par Olivier Cheval
Paysage avec rares pionniers et un Indien. La Dernière Piste de Kelly Reichardt par Suzanne Liandrat-Guigues
L'Indien, la femme. À propos de La Dernière Piste par Raymond Bellour
L'arche de Noé, 16. Le Convoi sauvage de Richard C. Sarafian par Hervé Gauville
Amour, écologie et cinéma. par Dork Zabunyan
Effondrement de la planète, devenir de l'amour
« Ramener l'écologie à la maison »
Le couple moderne et l'écologie
Sauver autrement la planète
Démonter la Catastrophe par Ysé Sorel
Film catastrophe, film prophétique ?
La catastrophe : du spectacle au simulacre ?
Croire au monde et aux images, malgré tout
Notes sur un projet de film intitulé « Repères » par Fernand Deligny
Quand la justice elle-même devenait fiction... par Sylvie Lindeperg
1. Le théâtre de la justice
2. Un procès fordien
3. La concurrence des styles
4. Repousser les marges du réel
C'est nous le lieu des images par Hans Belting
Spectateurs en quête d'un film par Érik Bullot
Post-scriptum
Reflets réfractaires par Paul Aymé
« Pan ! »
Prostituées
« Il semblait trouver son chemin sans y voir »
Refuser comme Rosemonde
Fraternité hawksienne par Jean-Charles Villata
Mais revenons au commencement...
De l'équilibre du monde : forces et faiblesses des hommes
Génie de Howard Hawks
De la fraternité
De l'évidence : le cinéma art du présent
Un film comme les autres, un film d'autrefois ou Ce qui a disparu avec le cinéma américain par Helmut Färber
I.
1. Un film comme les autres : Le Météore de la nuit, USA, 1953
2. Le film. Générique de production, etc.
3. Les films de science-fiction. Un modèle pour les années 1950
4. L'inversion du modèle. William Alland. Ray Bradbury
II.
5. Le Météore de la nuit (I)
6. Sand Rock, petite ville. Utopie (I). Et : propos sur le désert
PROPOS SUR LE DÉSERT
7. Le météore de la nuit (II). Utopie (II). USA, pays exotique
8. Le héros, le sauveur. Utopie (III). Richard Carlson
III.
9. Le cinéma américain
CINÉMA AMÉRICAIN
10. Retour sur le cinéma américain
UN AJOUT
11. À propos de la fin du film. Utopie (IV)
Philosophie du film sonore par Günther Anders
Retrouvez toutes les affaires débrouillées par le juge Ti chez 12-21, l'éditeur numérique !
Sous la glorieuse dynastie des T'ang, le secrétaire Ti Jen-tsie, las du train-train quotidien des fonctionnaires impériaux, délaisse la bureaucratie de la capitale pour gagner son premier poste de magistrat à Peng-lai, un port de la côte orientale. Poussé par un goût certain pour l'aventure, le juge va être servi. Non seulement ce petit district a la réputation d'être hanté, mais son prédécesseur vient d'y être assassiné. Ne dit-on pas que le fantôme du magistrat défunt erre dans le tribunal et qu'un homme-tigre égorge de malheureuses victimes ? Trafic d'or sous les T'ang marque les débuts du célèbre juge et sa rencontre avec ses deux fidèles lieutenants. Une trentaine d'années, armé de son sens de la déduction et de sa rigueur confucéenne, la légende du juge Ti est en marche.Traduit de l'anglais par Roger Guerbet"Grands détectives" créé par Jean-Claude Zylberstein
L'enquête lauréate du Prix Albert-Londres 2014.
La French Connection, dans les années 1970, c'était la drogue fabriquée à Marseille et revendue aux États-Unis. La French Deconnection, aujourd'hui, c'est la drogue fabriquée au Maroc et revendue à Marseille. Avec les mêmes symptômes ici qu'à l'époque aux États-Unis : misère et ghettos. Enquête dans les cités, au coeur des trafics, dans les caves, auprès des choufs et des nourrices, des politiques et des braqueurs, des habitants et des caïds. " On dit qu'on ne peut pas entrer dans nos quartiers, moi je dis qu'on ne peut pas en sortir. " Mourad, 25 ans" Un autre regard sur des quartiers rongés par l'économie du cannabis. " Le Monde " Un électrochoc dans la couverture de l'actualité marseillaise et de ses quartiers nord. " Jury Albert-Londres Une coédition Robert Laffont / Wildproject
Dans le cadre de la prise en charge éducative des mineurs sous protection judiciaire, la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) s'est donnée pour orientation de réduire les comportements de trafic et de consommation de produits psycho-actifs des mineurs, qui sont largement concernés par le problème, et d'intégrer à la démarche éducative les questions relatives à leur implication dans le deal et/ou le trafic s'y rapportant.
Pour accompagner les équipes éducatives dans cette démarche, la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) a développé de multiples initiatives : développement de formations spécifiques, élaboration d'un référentiel dédié adapté à l'action d'éducation dans le cadre pénal, création d'un environnement favorable par son inscription dans les politiques publiques, orientation des services vers un accueil individualisé du mineur.
En renforcement de cette démarche, la DPJJ a souhaité réaliser aujourd'hui un recueil des connaissances de base indispensables pour un éducateur intervenant auprès des mineurs soumis au risque de la toxicomanie. Il permettra aux professionnels, sur ce sujet très souvent soumis aux représentations de sens commun, d'avoir une culture partagée utile aux échanges avec les mineurs, au sein de leur équipe comme avec les partenaires extérieurs avec lesquels ils mèneront leurs actions.