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Editions du Jeu de Paume
- Editions du Jeu de Paume à prix réduit
- Tirages limités - Jeu de Paume
Dorothea Lange
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Ce livre magnifiquement imprimé met en lumière un pan méconnu de la carrière de Walker Evans, à savoir ses collaborations avec des magazines d'avant-garde et d'autres très connus comme Harper's Bazaar, Vogue, Architectural Forum, Life et Fortune. Ses essais photographiques, reproduits dans leur intégralité, sont un témoignage de la façon dont il travaillait pour gagner sa vie et de sa façon de s'adresser à un large public.
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Dorothea Lange ; politiques du visible
Alona Pardo
Coup de coeur- Prestel
- 25 September 2018
- 9783791357942
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Dorothea lange politics of seeing
Pardo Alona/Campany
Coup de coeur- Prestel
- 9 January 2018
- 9783791357768
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Dorothea Lange ; politiques du visible ; album de l'exposition
Dorothea Lange
- Jeu De Paume
- 8 October 2018
- 9782915704822
Publié à l'occasion de l'exposition «?Politiques du visible?» au Jeu de Paume, cet album offre une sélection de près de cinquante oeuvres emblématiques de la photographe documentaire américaine Dorothea Lange (1895-1965), qui chercha inlassablement à dénoncer les injustices sociales et à faire évoluer l'opinion publique.
Textes de Pia Viewing.
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Dorothea Lange ; grab a hunk of lightning
Elizabeth Partridge
- Chronicle Books
- 1 November 2013
- 9781452122168
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Walker Evans, Dorothea Lange & les photographes de la Grande Dépression
Thierry Grillet
- Place des Victoires
- 2 May 2017
- 9782809914511
Années 1930 : la Grande Dépression bouleverse l'Amérique. Déflation, chômage, migration, la crise économique transforme le pays définitivement. Le mode de vie américain, à la fois rural et communautaire, disparaît dans la douleur. C'est cette Amérique que les photographes de la Farm Secury Administration vont immortaliser. Cette confrontation avec le réel, censée servir la propagande roosveltienne, va contribuer à révolutionner la photographie américaine. Alors que Walker Evans produit un " style documentaire ", Dorothea Lange réussit à donner une dimension spirituelle et sociale à son travail, engendrant à eux deux les images les plus iconiques de cette période.
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Dorothea lange (aperture masters of photography)
Dorothea Lange
- Aperture
- 6 October 2014
- 9781597112956
Réédition en petit format d'une série de monographies sur les plus grands noms de la photographie.
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DOROTHEA LANGE, A LIFE BEYOND LIMITS
GORDON, LINDA , LANGE DOROTHEA
- NORTON
- 1 March 2011
- 9780393339055
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Une saison de coton ; trois familles de métayers
James Agee, Walker Evans
Coup de coeur- Christian Bourgois
- 11 September 2014
- 9782267026917
Voici enfin publié pour la première fois, plus de soixante-quinze ans après sa rédaction, un reportage signé James Agee que l'on croyait à tout jamais perdu, une enquête sur le métayage du coton dans l'Alabama qui devait donner lieu, plusieurs années plus tard, au célèbre ouvrage Louons maintenant les grands hommes (1941).
En 1936, le magazine Fortune, pour lequel Agee travaille, décide de l'envoyer dans l'Alabama afin de décrire les conditions de vie de trois familles de métayers du coton. Agee insiste pour que le photographe Walker Evans l'accompagne et c'est ainsi que les deux hommes vivront plusieurs semaines durant avec les Burroughs, les Tingle et les Fields. Tandis qu'Evans réalise certains de ses clichés les plus célèbres, Agee décrit minutieusement les existences de ces hommes, femmes et enfants, afin que nous en comprenions parfaitement chacun des aspects, qu'il s'agisse du travail, de la nourriture, des maisons, des vêtements, de la santé, de l'éducation ou des loisirs.
Profondément bouleversé et indigné par les conditions de vie ces trois familles de métayers, Agee a produit un compte rendu journalistique qui émeut par sa beauté et sa virulence, une charge contre le capitalisme qui explique, à n'en pas douter, pourquoi Fortune rejeta l'article et qui demeure, de nombreuses décennies plus tard, d'une féroce actualité.
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Louons maintenant les grands hommes
James Agee, Walker Evans
- Plon
- Terre Humaine
- 20 April 2017
- 9782259252744
A l'occasion de l'exposition événement consacrée à Walker Evans au Centre Pompidou, une nouvelle édition d'un des plus grands textes de la collection Terre Humaine. Un reportage chez des familles de métayers de l'Alabama, écrit dans la fièvre en 1936 par un journaliste et cinéaste de 27 ans. Un ouvrage figurant au premier rang des lettres américaines, illustré par des photographies historiques Walker Evans.
C'est en 1936, à 27 ans, que James Agee a écrit ce livre exceptionnel sur la misère au Sud des Etats-Unis.
Louons maintenant les grands hommes est un de ces grands textes qui marquent une génération. Le souffle d'Agee, son regard de cinéaste, l'intensité de sa vision surprennent et vous emportent dans un flux. Jamais un pays, une condition de classe, une très banale vie quotidienne de paysans n'ont été pareillement décrits. Cette minutie dans le détail, une férocité de ne rien laisser dans l'ombre - objets, corps, paroles et soupirs, pensées cachées - déroutent puis émeuvent et convainquent. Jamais, incantation lyrique aussi intérieure n'a inspiré de tels documents.
James Agee a été chargé par Time-Life d'un reportage de six semaines sur les Blancs pauvres de l'Alabama. Accompagné de Walker Evans - célèbre photographe américain -, comme deux espions, ils vont au sein de trois familles, tenter d'approcher la vérité. Mais qu'est-ce que la vérité d'un homme, d'une société ? N'est-elle pas insaisissable ? Agee nous le fait percevoir. L'intention première est donc un compte rendu. Mais la personnalité fiévreuse de l'auteur, la transparence poétique qu'il donne à tout ce qu'il regarde vont tirer de la vie la plus humble son expression la plus haute.
C'est une protestation contre la réalité, une déchirure, une brûlure intérieure qui inspirent ces portraits dont la tonalité est des plus singulières dans notre littérature et bouscule la tradition sociologique.
Dense de tout vouloir dire, écrit comme pour être entendu à haute voix, ce livre universel atteint une hauteur et une vérité de visionnaire inégalées. -
«Au commencement du monde, il y avait d'innombrables pensées, mais ce qu'on appelle une vérité n'existait pas encore. C'est l'homme qui fabriqua les vérités, et chaque vérité est composée d'un grand nombre de pensées vagues. Les vérités étaient éparses dans l'univers et voilées de beauté.
Le vieillard énumérait dans son livre des centaines de vérités. Je n'essaierai pas de vous les nommer toutes. Il y avait la vérité de la virginité, et la vérité de la passion, les vérités de la richesse et de la pauvreté, de l'avarice et de la prodigalité, de l'insouciance et de l'abondance. il y en avait des centaines et des centaines, et elles étaient toutes belles.
Les gens apparaissaient alors. Chacun arrachait une vérité en passant et quelques-uns, qui étaient particulièrement forts, en arrachaient une douzaine. C'étaient les vérités qui rendaient les gens grotesques. Le vieillard avait édifié toute une théorie sur ce sujet. Sa conception était qu'au moment où l'un des individus accaparait une des vérités, la nommait sienne et essayait d'y conformer sa vie, il devenait un grotesque et transformait en mensonge la vérité qu'il étreignait».
Winesburg-en-Ohio est certainement le recueil le plus connu de Sherwood Anderson, où son talent de nouvelliste amusé et incisif fait merveille.
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Les photographes de la farm security administration : archives d'une amérique en crise, 1935-1943
Brannan/Mora
- Seuil
- 14 September 2006
- 9782020554107
Les photographies de la Farm Security Administration (FSA), déposées à la Bibliothèque du Congrès à Washington en 1944, constituent la documentation photographique la plus complète sur les conditions de vie aux États-Unis entre 1935 et 1943. En pleine crise économique, le gouvernement de Roosevelt charge Roy Striker d'engager des photographes : Walker Evans,
Dorothea Lange, Arthur Rothstein, Ben Shahn, Jack Delano, Marion Post Wolcott, Gordon Parks, John Vachon et Carl Mydans participeront au projet. Cet ouvrage présente l'ensemble des travaux photographiques les plus importants réalisés par les photographes de la FSA, à partir des archives
de la Librairie du Congrès (plus de 180 000 négatifs).
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Vendue à plus de trois millions d'exemplaires, traduite en une quinzaine de langues, portée à l'écran par John Ford en 1941, pièce de théâtre à succès, La Route au tabac est le plus grand triomphe d'Erskine Caldwell.
Dans ce roman paru en 1932 aux États-Unis et en 1947 chez Gallimard, l'auteur, fidèle à sa tradition, dépeint le Sud des petits Blancs dans sa réalité la plus crue, et nous livre la radiographie d'une époque, celle de la Grande Dépression, où la faim détruit corps et esprits.
Vendue à plus de trois millions d'exemplaires, traduite en une quinzaine de langues, portée à l'écran par John Ford en 1941, pièce de théâtre à succès, La Route au tabac est le plus grand triomphe d'Erskine Caldwell.
Dans ce roman paru en 1932 aux États-Unis et en 1947 chez Gallimard, l'auteur, fidèle à sa tradition, dépeint le Sud des petits Blancs dans sa réalité la plus crue, et nous livre la radiographie d'une époque, celle de la Grande Dépression, où la faim détruit corps et esprits.
Un immense classique de la littérature américaine à redécouvrir. -
Chism Crockett déteste la campagne : c'est pourquoi il a vendu sa ferme dès que sa femme est morte. Il est allé s'installer à la ville, une toute petite ville de Georgie, avec son père, vieillard de quatre-vingt-cinq ans, ses trois filles et ses deux fils. En réalité, ce que Chism déteste surtout, c'est le travail. L'une des filles est une prostituée, une autre est mariée à un gredin ; le grand-père est quasiment malade de chagrin ; mais Chism se moque de tout ça. Il veut à tout prix rester à la ville et ne rien faire. La demi-misère, les êtres corrompus et les êtres qu'on va corrompre, les êtres à jamais inconnus les uns aux autres, tout est peint avec une puissance et une vérité saisissantes. Jamais Erskine Caldwell ne hausse le ton. Il décrit ses personnages avec l'impassibilité de l'observateur. Jamais non plus il ne tire de conclusion, ce qui n'en rend sa peinture que plus bouleversante. Et après le drame qui clôt le livre, on se dit que la vérité, cette sacrée vérité, est bien amère, mais que l'essentiel était de la dire.
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Semon Dye, prédicateur ambulant, parcourt la Géorgie «sur l'ordre du Seigneur» pour sauver les gens du péché. Il arrive un jour, au volant de sa vieille guimbarde, à Rocky Comfort, village perdu dans les terres, et descend chez Clay Horey, un paysan qui, comme tous ses voisins, se dessèche d'ennui. Clay pense que le prédicateur ambulant va le distraire. Mais Semon Dye se montre un hôte plutôt encombrant : il exige les faveurs de Sugar, la petite servante métisse, tire au revolver sur le mari de cette dernière, dépouille Clay d'une montre en or, de son auto et de sa femme en le roulant avec des dés pipés, s'enivre, se fait même le souteneur d'une prostituée, Lorene. Et pourtant, cet aventurier cynique n'en croit pas moins à sa mission évangélique...
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Ce recueil constitue la première étude monographique approfondie de l'oeuvre du grand photographe américain Walker Evans (1903-1975) menée par un auteur non américain. Le premier texte est une analyse image par image du célèbre livre American Photographs (1938). Le texte suivant commente un reportage réalisé par Evans sur le parti communiste américain pour le magazine Fortune en 1934 (l'auteur soulève des questions inédites sur les rapports d'Evans à la représentation des corps et du "commun", au peuple et à l'idéologie américaine). L'auteur analyse ensuite le faux vrai dialogue entre Evans et Henri Cartier-Bresson autour de leurs images d'Amérique, puis la réception de l'oeuvre d'Evans par les artistes américains des années 1960, et ses échos dans les travaux photographiques de Dan Graham. Dans le dernier texte, il met en relation de manière inédite Many Are Called (1966), le livre constitué de portraits anonymes pris dans le métro new-yorkais à la fin des années 1930, et les portraits dramatiques, "anti-pop", d'Andy Warhol.
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La pelouse américaine en guerre ; de Pearl Harbor à la crise des missiles, 1941-1961
Beatriz Colomina
- Editions B2
- Societe
- 15 December 2011
- 9782365090049
Du gazon " américain " ?! Une pelouse " en guerre " ?! De Pearl Harbor à la Crise des missiles cubains ?! Pour Beatriz Colomina, historienne de l'architecture à l'université de Princeton, le mythe patriotique du carré de pelouse (lawn) et le combat jardinier quotidien pour le maintien et l'embellissement de cette interface domestique de la famille et de la communauté reflètent une certaine conception du sol américain et de son paysage. Mais ils révèlent surtout une conception de la démocratie et de ses valeurs associées : libertés fondamentales, propriété privée et poursuite du bonheur, trilogie littéralement boostée durant la phase d'émergence de l'American Way of Life et de la Cold War. En menant une enquête visuelle et culturelle aussi serrée que passionnante, l'historienne répond à ces trois questions.
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U.s.a., iii : la grosse galette - trilogie u.s.a. iii
John Dos passos
- Folio
- 18 February 1986
- 9782070376933
L'orgie de spéculations boursières, la chasse aux dollars qui se termine par la crise des années 30, tel est le sujet de la grosse galette.
Ainsi s'achève dans un climat de tragédie la grande trilogie de dos passos, u.s.a., un des romans les plus importants du x siècle.
Les personnages principaux en sont charley anderson, héros de la guerre qui veut s'enrichir vite, margo dowling, vedette de hollywood, mary french l'idéaliste, et aussi sacco et vanzetti dont ce livre raconte l'exécution.
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U.s.a. - t1694 - le 42 parallele - trilogie u.s.a. i
John Dos passos
- Folio
- 31 January 1986
- 9782070376940
« Cette oeuvre immense qui domine la production littéraire de sa décade », écrit le critique américain John Brown. John Dos Passos, dans 42e Parallèle, invente un genre romanesque nouveau. Prodigieux tableau des débuts du XXe siècle aux U.S.A., il fait vivre des personnages de toutes les classes sociales, introduit des actualités, des portraits au vitriol des célébrités du jour, des collages, des textes lyriques. Ainsi surgit la « comédie inhumaine » d'un monde collectif, où les tragédies individuelles se fondent dans le désespoir d'une époque, d'une société.
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Le secret de la photographie ; entretien avec Leslie Katz
Walker Evans, Anne Bertrand
- Centre Pompidou
- 19 April 2017
- 9782844267672
Walker Evans (1903-1975) est sans aucun doute l'un des photographes américains les plus importants du XXe siècle. Ses photographies de l'Amérique en crise dans les années 1930, ses reportages publiés dans le magazine Fortune et sa définition du « style documentaire » ont influencé des générations d'artistes.
Cet entretien passionnant éclaire sous un angle nouveau la personnalité et le travail de Walker Evans.
Le livre s'inscrit dans la série des Écrits publiés par le Centre Pompidou, une collection indispensable à la compréhension de plus grands noms de l'art moderne et contemporain.
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«oui je le hais je mourrais pour lui je suis déjà morte pour lui je meurs pour lui encore et encore chaque fois que cela se produit... pauvre Quentin elle se renversa en arrière appuyée sur ses bras les mains nouées autour des genoux tu n'as jamais fait cela n'est-ce pas fait quoi ce que j'ai fait si si bien des fois avec bien des femmes puis je me suis mis à pleurer sa main me toucha de nouveau et je pleurais contre sa blouse humide elle était étendue sur le dos et par-delà ma tête elle regardait le ciel je pouvais voir un cercle blanc sous ses prunelles et j'ouvris mon couteau.»
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«Je lui avais dit de ne pas amener ce cheval, par respect pour sa défunte mère, parce que ça n'a pas bonne façon de le voir caracoler ainsi sur ce sacré cheval de cirque, alors qu'elle voulait que nous soyons tous avec elle dans la charrette, tous ceux de sa chair et de son sang ; mais, nous n'avions pas plus tôt dépassé le chemin de Tull que Darl s'est mis à rire. Assis sur la banquette avec Cash, avec sa mère couchée sous ses pieds, dans son cercueil, il a eu l'effronterie de rire !»
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La photographie fait désormais partie de la vie quotidienne. Elle s'est tellement incorporée aux habitudes qu'on ne la voit plus à force de la voir. Elle préside à tous les événements, privés ou publics. On lui prête un caractère documentaire, au point de la faire apparaître comme le procédé de reproduction le plus fidèle, le plus impartial de la vie sociale. En fait, la photographie, qui peut être instrument de connaissance et oeuvre d'art, n'est souvent qu'un instrument de communication susceptible de tous les avatars et de toutes les manipulations. C'est pourquoi l'histoire de la photographie ne peut être seulement l'histoire d'une technique : elle est inséparable d'une histoire sociale et politique.