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Emile Zola
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André Kertész / Emile Zola ; lire, écrire, photographier
François Bon
- Jeu De Paume
- 1 November 2010
- 9782915704235
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«Je hais les cuistres qui nous régentent, les pédants et les ennuyeux qui refusent la vie. Je suis pour les libres manifestations du génie humain. Je crois à une suite continue d'expressions humaines, à une galerie sans fin de tableaux vivants, et je regrette de ne pouvoir vivre toujours pour assister à l'éternelle comédie aux mille actes divers [...]. Autant de sociétés, autant d'oeuvres diverses, et les sociétés se transformeront éternellement. Mais les impuissants ne veulent pas agrandir le cadre ; ils ont dressé la liste des oeuvres déjà produites, et ont ainsi obtenu une vérité relative dont ils font une vérité absolue. Ne créez pas, imitez. Et voilà pourquoi je hais les gens bêtement graves et les gens bêtements gais, les artistes et les critiques qui veulent sottement faire de la vérité d'hier la vérité d'aujourd'hui. Ils ne comprennent pas que nous marchons et que les paysages changent.» Émile Zola.
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Illustre et méconnu, tel est Emile Zola.
On a lu ses romans, on sait peu de choses de l'homme. Secret, complexe, parfois contradictoire, souvent insaisissable, il s'est peu livré. Le succès de L'Assommoir fait de lui un homme public : il en profite pour acheter une maison à la campagne, à Médan, au bord de la Seine. De la " cabane à lapins " à l'édifice baroque qu'il construit au fil des années se mesure sa célébrité et son acharnement au travail.
Sa maison est son oeuvre. Il en dessine les plans, il en conçoit le moindre détail, il s'y enferme pour écrire, il y reçoit ses amis, elle se lit comme ses livres, elle nous parle de lui. Jamais peut-être, une maison fut à ce point le reflet d'un écrivain, de son univers intérieur, de son esthétique, de son style. Ouvrir les portes de Médan, suivre les chemins qui mènent de l'intimité au rêve, de la réalité à la création, de l'espace à l'imaginaire, et tenter de découvrir, par le texte et l'image, un autre Zola : c'est ce que nous propose Evelyne Bloch-Dano.
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Dans ces pages délicieuses et tendres, nous découvrons un Zola méconnu : le petit garçon jouant avec son camarade Paul Cézanne dans la cour de récréation, à Aix ; le jeune homme à la conquête de Paris, hésitant entre journalisme et littérature ; l'écrivain affermi peuplant nos rêves de personnages inoubliables...
Avec amour et talent, Denise Le Blond-Zola nous invite à rencontrer son père, à vivre à ses côtés : chez lui à Paris ; dans les secrets de son atelier d'écriture ou pendant ses enquêtes ; à Médan, avec ses amis, Flaubert, Daudet, Goncourt et quelques autres ; dans ses joies et dans ses luttes ; pour le pire comme pour le meilleur...
Au fil des pages se dessine ainsi, et pour notre plaisir, la figure d'un écrivain immense, mais aussi celle d'un père.
Denise Le Blond-Zola (1889-1942) est la fille de Jeanne Rozerot et d'Emile Zola. Emile Zola raconté par sa fille a été publié pour la première fois en 1931 aux éditions Fasquelle. -
Dossier 1. La théorie naturaliste 2. Nana, roman naturaliste Chronologie et notes par Marie-Ange Voisin-Fougère Présentation . Un projet ancien . Le scalpel naturaliste . Donner tout le vice . La mascarade impériale . La mouche d'or . «Je vais faire un livre amusant et terrible» Nana ruine ceux qui la désirent : le banquier Steiner, le capitaine Hugon... tous seront séduits et conduits au désespoir par la «Vénus blonde». En décrivant la vie d'une courtisane, Zola dépeint, à la manière des moralistes, la débâcle de la société bourgeoise du Second Empire en un saisissant tableau de moeurs.
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Un soir de septembre 1894, Marie Bastian ramasse, dans la poubelle d'un bureau, de petits morceaux de papier, déchirés. Déguisée en femme de ménage, cette Marie Bastian est une espionne, le bureau est situé dans l'ambassade d'Allemagne à Paris, et, une fois reconstitué, le «bordereau» accuse un officier français de trahison au bénéfice du voisin d'outre-Rhin. Ainsi commence l'histoire qui fait d'un innocent un coupable - Alfred Dreyfus -, d'un romancier un intellectuel engagé - Émile Zola - et d'un journal - L'Aurore - la tribune d'un texte magistral. Après la contextualisation de «l'affaire» et une analyse littéraire et historique de l'article de Zola, l'accompagnement pédagogique présente le climat social et politique de l'époque ; les prédécesseurs célèbres (Voltaire et Hugo) ; la postérité romanesque de J'accuse ! Pour la première fois, l'Histoire et l'histoire littéraire sont conjuguées pour éclairer cette page fameuse. Anthologie autour de J'accuse ! (texte intégral, XIX? siècle) recommandée à partir de la classe de troisième. Objet d'étude : l'argumentation. Enseignement interdisciplinaire (histoire et français).
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Nouvelle édition en 2002
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Paris, années 1870. Le baron Haussmann s'apprête à bouleverser la géographie de la capitale en perçant les rues pour y dessiner de larges avenues. Dans cette atmosphère bouillonnante, les spéculations immobilières vont bon train ; c'est ainsi qu'accède à la fortune Aristide Rougon, dit Saccard. Petit fonctionnaire de voirie, petit escroc, manipulateur et hypocrite, il s'enrichira en participant au dépeçage de Paris, véritable curée où les bourgeois parisiens, cupides et affamés, se déchirent la capitale comme des chiens une carcasse. Deuxième tome de la série des Rougon-Macquart, La Curée fait le portrait d'une ville avide de jouissance, déchirée par les querelles de pouvoir et d'argent. Symbole de l'immoralité d'une époque entière, Paris est le témoin de tous les vices. Du bois de Boulogne aux grands boulevards, les personnages s'adonnent à l'adultère, à l'inceste et au crime. Zola les traque dans chaque salon, chaque hôtel, chaque alcôve, avec la minutie d'un chroniqueur et la verve d'un satiriste. L'or et la chair : telles sont les obsessions d'une capitale pourrie jusqu'à la moëlle, Ville-lumière dont les boyaux cachent la pire noirceur.
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Des Batignolles à Auteuil, un mécanicien de locomotive erre, le couteau en main, hanté par une idée fixe : tuer une femme... Dans le train qui mène au Havre, un couple poignarde sauvagement un notable du régime impérial, avant de le jeter sur la voie. À la Croix-de-Maufras, lieu-dit reculé, un garde-barrière empoisonne son épouse, dans l'espoir de mettre enfin la main sur son magot. La Bête humaine n'est pas seulement le grand roman ferroviaire du maître du naturalisme : c'est aussi son grand roman du crime - un Dahlia noir signé Zola, où chaque personnage semble être tour à tour le traqueur et la proie. En 1888, au moment d'entamer ce qui allait devenir l'un des volumes les plus célèbres du cycle des Rougon-Macquart, Zola écrivait : «Je voudrais quelque chose d'hallucinant, d'effroyable [...], qui reste à jamais dans la mémoire, qui donne un cauchemar à toute la France.»
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"Je voudrais faire un livre qu'on n'attende pas de moi. Il faudrait pour première condition qu'il pût être mis entre toutes les mains, même les mains des jeunes filles. Donc, pas de passion violente, rien qu'une idylle. Refaisons donc Paul et Virginie...".
Emile Zola.
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" Publié en 1867, un an après Thérèse Raquin, Madeleine Férat aurait pu rester un recueil de "scènes de la vie de bohème", telles que Zola les avait lui-même vécues pendant quelques mois, en poète famélique, dans la compagnie de jeunes femmes faciles.
Mais son imagination romanesque, avant Les Rougon-Macquart, le porte ailleurs : vers des personnages maudits, des destinées meurtrières, des vies manquées, des situations paroxystiques, des scénarios de catastrophe, des conduites de panique et d'autodestruction. Ce sont des modèles hérités de sa première formation, qui a été romantique, mais aussi de son initiation positiviste, qui l'a laissé sans illusions sur les servitudes du corps et le poids des moeurs.
Ils donnent à l'oeuvre, par-delà ses figures venues d'un bric-à-brac romanesque d'époque, sa violence et la rigueur de son enchaînement narratif.
A cela s'ajoutent des qualités plus singulières encore : celles qui apparentent de nombreuses pages du roman, dans ses intérieurs comme dans ses extérieurs, au travail des peintres de la nouvelle école, ceux que Zola connaît bien, et qu'il appelle tantôt les "paysagistes", tantôt les "actualistes", tantôt les "peintres naturalistes", avant qu'ils ne soient dénommés, pour toujours, les "impressionnistes".
Tel portrait de Madeleine, au moment du départ de son amant, fait penser à un Degas des débuts du peintre. Tel autre ressemble à un Renoir. Tel paysage, au voisinage de la Noiraude, est croqué à l'image d'un Daubigny.
La nuit de la tragédie tombe peu à peu sur les personnages. Mais, pendant quelques moments, Ils ont connu la lumière de l'insouciance, telle que les jeunes peintres de la génération de l'auteur la captaient sur les bords de Seine.
A ce titre, il serait temps d'observer que, si Madeleine Férat est un roman dur, sinon terrifiant, c'est aussi un roman artiste, annonçant avec brio la double touche qui caractérisera les oeuvres ultérieures. " HENRI MITTERAND.
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Nouvelle édition en 1999
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Jeune veuve, Hélène Grandjean mène une vie rangée, monotone, avec sa fille Jeanne. Depuis son appartement perché sous les toits de Paris, elle regarde passer le monde. Maladivement possessive envers sa mère, Jeanne est sujette à des crises régulières. Le jour où le docteur Deberbe, son voisin, vient au secours de l'enfant, Hélène en tombe soudain follement amoureuse. Dans la vie de cette femme tranquille, la passion va tout bouleverser. Huitième tome des Rougon Macquart, Une page d'amour (1878), en apparence moins violent que les autres romans, forme comme un interlude dans la série. Mais la violence est ici psychologique. Le monde y est rapporté aux dimensions d'une petite chambre de Passy, dans l'intimité d'une relation mère-fille exclusive. Sous le regard de la ville, témoin muet des joies et des peines de ses habitants, se joue le drame bourgeois des amours impossibles.
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Dans cette touchante histoire d'amour entre un grand spécialiste de l'hérédité et sa nièce, on trouve l'aboutissement d'une aventure familiale, celle des Rougon-Macquart, et un roman scientifique sur ce sujet si actuel, l'hérédité ou la génétique. Bref, une synthèse de l'art et de la pensée, Le Crépuscule des dieux ou Le Temps retrouvé de Zola, la fin d'une longue aventure qu'elle résume et conclut, et un «appel à la vie», un splendide message d'espoir. «La vie, la vie qui coule en torrent, qui continue et recommence, vers l'achèvement ignoré ! la vie où nous baignons, la vie aux courants infinis et contraires, toujours mouvante et immense, comme une mer sans bornes !»
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Barbiche grisonnante et regard myope derrière ses besicles : tel apparaît débonnaire et quelque peu compassé, le Zola des manuels de littérature. Pourtant, ce bourgeois frileux se révèle très tôt comme un boute-feu redoutable. Dès qu'une injustice pointe à l'horizon, il clame son indignation à la face du monde. Ainsi se fait-il l'avocat des causes les plus difficiles, défendant la peinture de Manet aveuglément décriée, stigmatisant les moeurs corrompues du Second Empire, bravant avec un courage inouï, l'opinion, le gouvernement, l'armée lors de l'affaire Dreyfus. La critique et le publie bien-pensants ne lui pardonnent pas ses prises de position abruptes, ses professions de foi «naturalistes» et le style plébéien de ses livres. Qu'il le veuille ou non, chacun de ses romans est un scandale. Mais, si l'auteur des Rougon-Macquart est un révolté perpétuel, il est aussi un pantouflard studieux, qui rejoint sa table de travail à heure fixe, aime les bons repas et se glorifie de gagner des sous avec sa plume. Tout en peignant, de volume en volume, une fresque hallucinante de la France d'hier, il partage consciencieusement ses loisirs entre son épouse, pesante et mûre, et sa jeune et jolie maîtresse, déjeunant chez l'une, goûtant, avec l'autre, les joies de la bicyclette et de la paternité clandestine. Ce sont ces contradictions qui ont séduit Henri Troyat. Attentif à la vie privée de Zola comme à son parcours littéraire, il conjugue merveilleusement l'homme multiple qu'il fut avec l'oeuvre monumentale qu'il laisse. Au-delà du récit biographique, un dialogue d'écrivain à écrivain.
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Proust et la photographie ; la résurrection de Venise
Jean-François Chevrier
- L'Arachneen
- 21 April 2009
- 9782952930222
Jean-François Chevrier construit une analogie entre la mémoire involontaire, à l'origine de la vocation littéraire de l'auteur d' À la recherche du temps perdu, et les mécanismes inconscients à l'oeuvre dans la photographie instantanée. À la réédition de cet essai nous ajoutons un nouveau chapitre, intitulé « La Résurrection de Venise », qui redonne à l'oeuvre de l'historien d'art anglais John Ruskin (à ses dessins et daguerréotypes de Venise) et à une lettre inédite de Marcel Proust (commentée par Jean-François Chevrier) leur rôle dans la genèse de la Recherche. Le recueil s'achève sur un épilogue qui met à nouveau face à face Proust et Ruskin, à l'ombre du « petit monstre » de la cathédrale de Rouen.
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Illustré de seize photographies de l'auteur
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À vingt ans, Arthur Rimbaud a déjà écrit Le bateau ivre, mais il estime que «l'art est une sottise». À la vie de poète, il préfère l'existence d'aventurier. D'errances en séjours prolongés, il se rend à Java, à Chypre, puis s'installe en Afrique où il se lance dans le commerce. Il vit entre Aden et le Harar, importe et vend toutes sortes de choses avant de se transformer en pourvoyeur d'armes pour le roi du Choa, Ménélik. C'est pour ce roi également que travaille Alfred Ilg, un ingénieur suisse qui finira Premier ministre du souverain. Les deux hommes font connaissance, éprouvent de l'estime l'un pour l'autre et correspondent de 1888 à 1891, année où Rimbaud meurt d'un cancer.Ces trente-cinq lettres, découvertes par la fille de Ilg, sont à la fois amicales et professionnelles. Écrites à une époque où Arthur Rimbaud a abandonné la poésie mais ébauche une carrière de reporter, elles révèlent une facette surprenante de ce personnage. Elles nous permettent surtout de pénétrer dans le quotidien africain du poète.
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Longtemps la critique a ignoré la photographie et le rôle qu'elle a eu en relation avec le discours ou l'esthétique littéraires, au point que des ouvrages universitaires sur le naturalisme ne mentionnent même pas cette invention ! Les récents travaux ont au contraire démontré combien littérature et photographie avaient connu des interactions fécondes, voire « révolutionnaires ». Autant qu'être une référence, l'ouvrage ambitionne d'impulser un nouveau champ de recherche.
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La photographie et l'(auto)biographie
Collectif
- Gallimard
- La Bibliotheque Gallimard
- 6 May 2004
- 9782070313518
Anthologie constituée et lecture accompagnée par Sylvie Jopeck
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Né en 1899 dans une ville de Hongrie aujourd'hui roumaine, photographe mais aussi peintre, dessinateur, sculpteur et écrivain, Brassaï fut un artiste éclectique et de son temps.
Etudiant en histoire de l'art à Budapest puis à Berlin, il s'installe à Paris au milieu des années 1920, apprend seul le français en lisant Proust, et passe des nuits entières à arpenter la capitale. Il photographie les rues, les gens, les bordels comme les chantiers, sublime les enseignes publicitaires et capture les lumières. Ami des plus grands artistes de son temps, Kandinsky, Kokoschka, Henry Miller ou Jacques Prévert, il fut aussi le portraitiste de Dali, Picasso, Matisse, Giacometti et Michaux. Alors que la photo peine à être reconnue comme un art, il réalise des clichés qui resteront à jamais les témoins d'une époque mythique : celle du Montparnasse des années 30, de la Bohème étourdissante. Photographe d'un Paris interlope et nocturne comme de la brillante société de la danse et de l'opéra, auteur d'une oeuvre aujourd'hui célèbre dans le monde entier, du Japon aux Etats-Unis, Brassaï est entré dans la légende en se promenant.
« La vie de Brassaï fut une quête inlassable et tenace. Du petit soldat communiste à l'exilé hongrois des brasseries de Montparnasse, puis à l'artiste mondialement reconnu, c'est Ulysse. Mais c'est aussi Protée, un flâneur, un grimpeur, un insaisissable vagabond qui fut le poète de sa propre vie. On ne vient pas à bout des légendes. C'est ce qui fait leur étrange beauté. » Serge Sanchez -
Riche de plus de cinquante mille oeuvres, le musée d'Orsay possède une des plus belles collections de photographies anciennes au monde. De la naissance de la photographie aux pictorialistes, cet ouvrage, avec plus de 300 reproductions, retrace l'histoire du médium et offre un exceptionnel parcours à travers la collection.