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LIVRES NUMERIQUES EBOOK
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Comme nous le disions en commençant, le seul obstacle à la propagation de la Photographie aérienne ne réside que dans le ballon. Encombrant et coûteux, cet appareil demande encore un temps relativement long pour être mis en état de s'élever dans les airs ; d'où manque de réussite dans les opérations, par suite du défaut de lumière, si l'ascension est trop retardée. Nous citerons à l'appui le récit de l'expérience faite par MM. Lair et Gillon le 15 février 1884 et rapportée par M.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Les pionniers de la photographie
Jacques Delanoe
- FeniXX réédition numérique (Terre de Brume Éditions)
- 16 January 2019
- 9782402624497
Ce sont les inventeurs, les pionniers et les premiers virtuoses d'une technique et d'un art nouveaux.
Depuis les précurseurs oubliés, jusqu'aux créateurs les plus illustres, de Bayard à Disdéri, et de Daguerre à Nadar, Jacques Delanoë, en collectionneur passionné, nous fait pénétrer dans l'intimité de ces fabuleux inventeurs, en rassemblant dans cet ouvrage, autour de leurs notices biographiques, de leurs portraits, et de leurs caricatures, le meilleur de leurs oeuvres. Ainsi, nous voyons défiler, au long des pages de ce livre, Gambetta et Sarah Bernhardt, Napoléon III et Liane de Pougy, Thiers et George Sand, Jules Favre, Alexandre Dumas, Michelet, Gustave Eiffel, et beaucoup d'autres, avec des nuances et des expressions, que les livres d'Histoire ne nous avaient jamais restituées.
Bref, le précieux album d'une famille : celle de tous ceux et de toutes celles, qui participèrent au prodigieux essor du XIXe siècle. -
Video Art Theory: A Comparative Approach demonstrates how video art functions on the basis of a comparative media approach, providing a crucial understanding of video as a medium in contemporary art and of the visual mediations we encounter in daily life.
A critical investigation of the visual media and selected video artworks which contributes to the understanding of video as a medium in contemporary art The only study specifically devoted to theorizing the medium of video from the perspective of prominent characteristics which result from how video works deal with time, space, representation, and narrative The text has emerged out of the author's own lectures and seminars on video art Offers a comparative approach which students find especially useful, offering new perspectives -
Poésure et peintrie : d'un art, l'autre
Bernard Blistene, Jean-Pierre Bobillot, Philippe Castellin, Antoine Coron, Marc Dachy, Michael Davidson, Michel Decaudin
- Réunion des musées nationaux - Grand Palais (réédition numérique FeniXX)
- 5 April 2019
- 9782711868735
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Le concept de montage est introuvable. Même Eisenstein, l'un des premiers théoriciens, n'a cessé de revenir sur ce geste si multiple. La proposition théorique de cet ouvrage n'est pas de réfléchir au montage à partir d'une thèse qui se développerait linéairement, mais d'« ouvrir » le montage en autant de gestes qui le constituent dans les oeuvres contemporaines, que ceux-ci héritent de la pratique et de la théorie du cinéma ou qu'ils empruntent aux pratiques du collage et du montage d'autres arts visuels et sonores, comme littéraires. Si le montage a fini par être rattaché au cinéma jusqu'à le définir, sa conception dépasse largement le septième art comme en témoigne ses théories et ses pratiques. Il pourrait être considéré comme un médium par sa force à traverser la peinture, la sculpture, la composition musicale, littéraire... En le pensant comme médium, il s'agit aussi de le libérer de son Apparat, de ses opérations techniques même si elles sont fondatrices comme la coupe et la collure, en le considérant dans toutes ses puissances, dans toute sa virtualité. Le montage serait donc avant tout performatif, interprétatif et sa réalisation dépendrait autant des gestes du créateur que du spectateur.
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Christian Milovanoff est un photographe né en 1948 à Nîmes. Il débute une pratique photographique d'auteur en 1976 après des études en sociologie et ethnologie. Il sera professeur à l'École Nationale Supérieure de la photographie d'Arles lors de sa création en 1982 jusqu'en 2015. Sa recherche artistique s'oriente sur les espaces intérieurs tels que les musées, supermarchés et bureaux. Il a publié plusieurs ouvrages monographiques. Il est également auteur de nombreux articles sur la photographie et le cinéma. Le présent ouvrage les rassemble : textes inédits, textes déjà parus et réécrits.
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La Leçon inaugurale du Collège international de photographie
Christian Milovanoff
- Naima
- 8 September 2021
- 9782374401423
Donner la parole aux artistes, et leur proposer de partager l'intimité de leur réflexion est au coeur des leçons inaugurales du Collège international de photographie. Dans le cadre prestigieux du musée du Louvre, nul mieux que Christian Milovanoff ne pouvait nous offrir une voix autant qu'un regard sur la création. L'artiste a dépassé nos attentes en réalisant de toute pièce une oeuvre qu'il a performé devant un auditorium comble. Pour celui qui a réalisé son premier livre intitulé Le Louvre revisité (1986) précisément en ces lieux, montrant ce que la photographie a de commun avec toute l'histoire de l'art, et qui y a exposé ses oeuvres en 2007-08 avec Suites, photographier les oeuvres est faire oeuvre. Mais la leçon dit bien plus encore, et nous entraîne dans toute la création de Christian Milovanoff, jusqu'aux surpenants travaux réalisés dans les zoos d'Europe.
Celui qu'un jour j'ai qualifié de « portraitiste de l'art », vous emmène sur les chemins de la vie et de la connaissance, dans l'intimité épique d'une existence tout entière façonnée au contact des oeuvres. En enregistrant et en produisant cette leçon magistrale, le Collège international de photographie en partenariat avec les éditions Naima souhaite partager une leçon devenue une oeuvre. Michel Poivert -
A une époque où les menaces de mort à l'encontre d'écrivains et les assassinats d'artistes occupent le devant de l'actualité, qu'en est-il de l'impunité de l'art ? Sur quoi, en Occident, se fonde ce sentiment, voire cette certitude que l'artiste pourrait créer impunément et l'art refuser de se plier aux juridictions communes ? S'agirait-il d'un droit ? Alors à coup sûr d'un genre spécial, ni civil ni criminel, pas même sanctionné par un texte légal. Mais, l'autonomie pénale de l'œuvre d'art est à la fois la garantie de l'art et son plus paradoxal soutien, car, pour être effective, elle doit être hors des atteintes du premier individu venu, du premier juge ou du premier censeur, et pour cela l'art a besoin de la loi. D'où le rapport en permanent décalage, source de malentendus irréductibles entre l'un et l'autre. Comment d'un côté se déprendre des compromissions avec une instance l'égale, qui au nom du bien général ("bonnes mœurs", "sécurité de l'Etat", etc.) porte en elle la menace d'une limitation à la volonté illimitée de créer, et solliciter de l'autre sa protection contre l'arbitraire des minorités de toutes obédiences ?
L'art entretiendrait-il par une espèce de péché originel une complicité avec le crime ? se demande la loi. Mais elle-même n'est-elle pas l'autre masque du crime ? s'interroge l'art. L'art, le crime et la loi nouent ainsi une intrigue où tous les protagonistes affichent un visage dédoublé, en perpétuelle instabilité.
C'est cette relation qui est ici mise à la question en s'appuyant sur des exemples tirés de la littérature, du cinéma, de l'histoire et de l'art mais aussi de l'actualité passée et présente, en Europe et aux Etats-Unis.
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Christo
Dominique Gilbert Laporte
- Flammarion (réédition numérique FeniXX)
- Art press Flammarion
- 22 July 2019
- 9782403060553
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Entretien avec Philippe Lacoue-Labarthe sur Friedrich Hlderlin. L'oeuvre et la vie de Hlderlin auront fourni le prétexte à bien des lectures, à bien des réécritures, engendrant d'autres livres, d'autres oeuvres à leur tour. Il y a donc bien une figure du poète, et une aura de l'oeuvre, qui sont profondément bien que peut-être confusément, imbriqués dans la stratographie textuelle de notre temps. L'entretien est suivi d'une biographie de Hlderlin.
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Pourquoi Moeurs ? Qu'a donc l'écriture à voir avec les usages, Joyce avec ces messieurs de Saint-Vincent-de-Paul, le célibat de Flaubert avec les bibliothèques de Julien Sorel ou la frénésie des pompiers américains ? Triple attentat : à l'ethnologie dont ce recueil conteste le monopole ; à la critique traditionnelle, intraitable sur la séparation des genres ; aux entreprises théoriciennes qui, depuis quelque vingt ans, escamotent le monde et ses pièces à conviction : le sens, la figuration, le vécu. Pourquoi ne serait-il pas ethnologue celui qui, sans passer par les baguettes de la scientificité, ouvre son livre à l'irrédentisme des attitudes et des coutumes, entre ce qui constitue la mode et ce qui la décompose ? Quels qu'aient été les lieux et les sujets de mon attention - un roman de Balzac, une maison de Sidi-Ameur, une paroisse bordelaise -, éprouvant un sentiment d'égale présence et dignité, je m'entretenais avec eux sur le mode intempestif du désir. R.K.
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Un fantôme dans le kiosque : Mallarmé et l'esthétique du quotidien
Roger Dragonetti
- Seuil (réédition numérique FeniXX)
- La couleur des idées
- 7 October 2016
- 9782021253313
Ce livre traite d'un Mallarmé peu commenté : l'épistolier, auteur d'une volumineuse Correspondance, et le journaliste qui créa La dernière mode, gazette éphémère et mystérieuse décrivant les nouveautés de la vie parisienne. Il nous a semblé que, sous ce double masque, se trouvait un chef-d'oeuvre occulté. L'idée rebattue du poète contraint de gagner sa vie avait des racines trop tenaces, pour que s'excite outre mesure la curiosité de la critique sur les frivolités de La dernière mode. Même si la prose en dentelle de ce journal trahissait l'écrivain, c'était avec un sourire chargé d'émotion qu'on liquidait ce fait curieux. Quant au fourre-tout de la Correspondance, où le poète entremêlait son rêve poétique aux nouvelles de la vie de tous les jours, l'intérêt porté à ces écritures était plutôt de l'ordre de la documentation. Or, si l'on se laisse porter par les méandres de la langue mallarméenne, on aperçoit progressivement la toile d'araignée qui lie ces deux oeuvres jusqu'à les envelopper comme une seule. Les mots du langage quotidien, et même les noms propres libérés de leur référent concret, y deviennent des sortes de personnages-pseudonymes qui correspondent entre eux, mais par la musique, la figure et le rythme de leur matière littérale. Comme des spectres emmurés dans la survivance d'une représentation fantomale, dans un décor en papier, ils finissent par se détacher et surgir de ce linceul pour scintiller comme le spectre du rythme inconnu. Tel est le niveau hyperbolique où Mallarmé a porté son esthétique du quotidien, qui emprunte les images de la vie pour faire entendre la musique des lettres à ceux qui ne savent lire que le journal.
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Le Destructeur d'intensité
Bouttes Jean-Louis
- Seuil (réédition numérique FeniXX)
- 11 September 2015
- 9782021259452
Tout serait clair si Pécuchet avait rencontré Zarathoustra plutôt que Bouvard. La fulgurance prophétique et la fascination du cliché ne se répondent-elles pas ? Être moderne, c'est certes pourchasser le stéréotype, mais c'est aussi être stéréotypé ; c'est avoir horreur du pouvoir et en rêver ; condamner le narcissisme et chercher, par amour-propre, à resplendir. Si l'on ne croit pas à la promesse de leur disparition, on est obligé de dire que stéréotype, narcissisme ou pouvoir sont des indépassables, et doivent être accueillis selon une échelle d'intensités, d'éclats et de bonheurs. Il faut alors affirmer que la manipulation est inévitable, et que toutes les sagesses consistent, au fond, à en faire la théorie. Les étapes d'une telle prise de conscience se situent comme les degrés d'une initiation, au terme de laquelle on doit apprendre à se défaire de la complaisance à l'égard du petit prochain en faisant sa part à la colère, sans hésiter à détruire l'intensité d'un instant amical ; cette violence équitable n'est-elle pas une des habitudes de Dieu ? Le moraliste est nécessaire pour promener son fouet dans la galerie moliéresque des fantômes du temps présent ; elle fourmille de tous ceux qui, mettant leur espoir dans la levée des défenses individuelles et le calorimètre des ambiances, s'emprisonnent à force de vouloir se libérer. Parmi eux - entre autres -, Émilie Poupe, de profession psychanalyste sauvage : Pour les gens dans la rue qui ne bénéficiaient pas de son dispositif muet, elle réservait ses interventions spéciales : que la vie est simple ! que la vie est vacante ! ; entourée de prédicateurs à sonnettes, de dévotes, de girouettes et de fonctionnaires mentaux, elle crut échapper à son destin le jour où elle aperçut dans la rue un jeune et spirituel fugitif ; elle épousa ce beau Malais ; mais il se rangea et devint un pisse-froid.